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Présidentielle : Emmanuel Macron réélu pour un second mandat avec 58,54 % des voix



Une nette victoire, mais pas de division. Dimanche, les Français ont choisi de briguer Emmanuel Macron pour un second mandat. Avec 58,54 % des suffrages, il obtient l’un des meilleurs résultats de la Ve République et l’exploit de devenir le premier président à être réélu hors période de cohabitation. Cependant, la victoire a été un arrière-goût de défaite pour beaucoup.

Avec près de 13,3 millions de voix, Marine Le Pen a établi un record pour une candidate d’extrême droite : en 2017, sa candidature au second tour n’a recueilli « que » 10,6 millions de voix. Les abstentions ont également atteint un niveau record, avec 28,01 % des électeurs inscrits sans motion. Comme les bulletins blancs et nuls, représentant plus de 3 millions de voix.

EN DIRECT – Président : Les temps forts du lendemain de la victoire d’Emmanuel Macron

C’est largement suffisant pour priver Emmanuel Macron de l’élan nécessaire à cinq années supplémentaires au pouvoir, rendant les prochaines semaines décisives pour le chef de l’Etat. Voici les principales nominations qui l’attendent au début du nouveau quinquennat.

 

Ce lundi : une journée « Reculez »

Au lendemain des élections, MACON d’Emmanuel décide de se retirer de la résidence présidentielle de La Lantere, dans les jardins de Châteaudeverailles. Il a dû « prendre du recul » pendant quelques heures, a-t-il annoncé avant le second tour, pour tirer personnellement les leçons de l’élection et planifier l’avenir. Il pourrait aussi décider du premier voyage symbolique : il évoque la possibilité de se rendre au chevet des blessés.

Première semaine de mai : refonte
Comme le veut la tradition après l’élection présidentielle, le Premier ministre Jean Castex a annoncé qu’il présenterait rapidement la démission du gouvernement. Cependant, Emmanuel Macron a précisé qu’il souhaitait une « semaine de transition » après son élection pour gérer l’actualité. Jean Castex devrait encore être présent à la réunion ministérielle de mercredi.

Cependant, il est d’usage de changer de gouvernement (ou de confirmer l’investiture) avant qu’un nouveau président n’entre en fonction. « Emmanuel Macron souhaite certainement une nomination féminine à Matignon », a déclaré Clément Beaune lundi sur BFMTV. Les transferts entre ministères doivent être contrôlés.

Avant le 13 mai : Inauguration

Si Emmanuel Macron a été casté en 2017 après son élection, il devra à nouveau confirmer officiellement le chef de l’Etat après sa réélection. Lorsque François Mitterrand en 1988 et Jacques Chirac en 2002 ont été reconduits, ils ont choisi de réduire la cérémonie au strict minimum. Pourtant, rien n’empêche le président d’accueillir un geste symbolique s’il le souhaite.

· Avant les élections législatives : les premières mesures

Outre ces actions institutionnelles, Emmanuel Macron devrait également rétablir la vie « normale » du chef de l’Etat. La rencontre avec le chancelier allemand Olaf Schultz a été présentée comme le premier voyage officiel à l’étranger, mais aucune date n’a été fixée. Au niveau international, il devrait également reprendre au plus vite ses activités diplomatiques dans le contexte de la guerre en Ukraine et de la présidence française de l’Union européenne.

Les affaires intérieures ne font pas exception. Le nouveau gouvernement doit faire face à une inflation galopante et à d’autres problèmes quotidiens. Par exemple, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire évoquait ce lundi matin sur franceinfo un dispositif « plus efficace, plus ciblé vers les gros galets » pour alléger la pression sur le pouvoir d’achat due à la hausse des prix du carburant et même une réévaluation automatique du SMIC provoquée par le gonflement des niveaux. .

 

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Mais le président pourrait choisir d’aller plus loin et d’engager les premières réformes de son quinquennat. Pour cela, il a deux possibilités : promulguer un décret – ce qui est possible sur certaines questions – et convoquer une session spéciale du parlement.

En raison des élections présidentielles et législatives, l’Assemblée nationale et le Sénat ne se réunissent plus. Mais la constitution permet au président de la république de les convoquer quand il le juge nécessaire. Emmanuel Macron pourrait user de sa majorité à la Chambre des communes depuis 2017 pour faire passer les premières mesures législatives.

12-19 juin 2022 : Élections législatives

Pendant cette période, la majorité et l’opposition se mettront en route puis feront campagne pour le renouvellement de l’Assemblée nationale. La « maison commune » de la majorité (La République en marche et ses alliés) devrait progressivement investir dans les candidatures d’ici le 20 mai, date limite de dépôt des candidatures. Il compte sur de nouveaux rassemblements à droite et à gauche pour maintenir son écrasante majorité (346 sur 577 délégués).

De son côté, la gauche se range progressivement derrière Jean-Luc Mélenchon et sa « Ligue populaire » pour tenter de faire cohabiter Emmanuel Macron. Reste à savoir si ce processus ira jusqu’au bout. Si les discussions avec les écologistes se passent bien, selon les dirigeants Insoumis, leurs discussions avec le Parti communiste et le Nouveau parti anticapitaliste seront plus compliquées et n’ont pas encore commencé avec le Parti socialiste, qui a exprimé une volonté dans cette gauche -coalition de l’aile.

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L’opposition nomme les députés

Enfin, à l’extrême droite, Eric Zemour et ses partisans ont encore insisté pour appeler à une « coalition des droits ». Mais les rassemblements nationaux semblaient moins disposés à conclure un tel accord, appelant plutôt à une « coalition patriotique » centrée sur lui, sur la base de leurs bons résultats au second tour de l’élection présidentielle.

Quant à LR, il devra soutenir les partisans d’Emmanuel Macron, les défenseurs de la « coalition » avec la majorité présidentielle, les partisans des « ni-ni » et ceux qui seront prêts à se battre avec Eric Zemmour conjointement.

Après les élections législatives : un été de travail
A l’issue des élections législatives, le Président de la République devrait nommer un nouveau gouvernement – ou réorganiser le gouvernement nommé à l’issue des élections présidentielles – en tenant compte de l’équilibre des pouvoirs à l’Assemblée nationale. Le Parlement a ensuite convoqué une session extraordinaire pour se réunir en été. À ce moment-là, le chef de l’État et le nouveau parti majoritaire commenceront effectivement le quinquennat.

l’Etat et la nouvelle majorité.

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