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Les 100 euros supprimés par le Sénat : voici par quoi ils vont les remplacer !



Depuis son abolition, la prime d’inflation n’a cessé de susciter la polémique entre l’opposition et la majorité. En la rejetant, le Sénat crée des problèmes. Doingbuzz a évalué cette mesure convaincante.

A quelques mois de l’élection présidentielle, Jean Castex a subi un sérieux revers. Le Sénat a annulé son plan de prime d’inflation. C’est une tragédie !

Tout sur la prime d’inflation

Ce n’est un secret pour personne que le Sénat fait tout ce qu’il peut pour contrer les actions du gouvernement. Il est majoritairement composé de personnalités de l’opposition, et en balayant cette fameuse prime d’inflation, il vient de laisser son empreinte sur son territoire. Chers lecteurs de Doingbuzz, vous découvrirez leur logique et ce qu’ils entendent mettre en œuvre. Il n’est vraiment pas facile de redynamiser le pouvoir d’achat. Cette double crise sanitaire et économique a marqué l’opinion publique. Pour le moins, le prochain président de la République devra en tenir compte dans ses projets. Une fois élu, avant de se lancer dans une série de réformes, il devra prendre la température ou le mécontentement social reprendra.

Les Républicains montent au créneau

 

Au Sénat, Bruno Retailleau est celui qui a causé le plus de difficultés. S’agissant de cette prime d’inflation, elle se fonde sur l’avis du rapporteur général de la commission des finances. À leur avis, l’État n’a aucun moyen de se permettre d’avancer des arguments aussi farfelus. De plus, les deux n’avaient qu’un seul objectif : supprimer des parties du projet qu’ils jugeaient peu crédibles avec la réalité. Pourquoi une telle méfiance à l’égard d’une mesure destinée à améliorer le quotidien de certaines personnes ?

 

D’une part, le montant est contesté. Beaucoup de gens pensent que cette centaine d’euros est ridicule. Deuxièmement, d’autres ne comprennent pas comment l’État décidera qui a le droit de l’obtenir. Plongés dans une stratégie à tout prix, la plupart des gens ont du mal à expliquer clairement leur démarche. Dès lors, l’opposition s’est précipitée sur cette violation et a cité un exemple pour justifier sa colère. « « Une infirmière familiale a besoin de sa voiture plusieurs fois par jour, avec un revenu net de 2 005 euros, qui sera exclu de son bénéfice. » Les sénateurs croient toujours qu’il est important de ne pas créer de jalousie au sein de la classe moyenne. Affaibli par l’éventuelle cinquième vague, le contexte demande de la rigueur plutôt que de la précipitation.

Une autre piste

 

De plus, le groupe du Parti républicain a avancé à l’unanimité quelques suggestions pour se moquer de la prime d’inflation initiale. Pourquoi ne pas ajouter 50 euros aux activités existantes ? Quant à ceux qui ont droit aux minima sociaux et autres aides, ne vaudrait-il pas mieux leur offrir le même montant d’aide ? Bien entendu, les chômeurs et les jeunes qui viennent d’entrer sur le marché sont également confrontés à d’énormes difficultés. Cette fois, il faut analyser la situation « au cas par cas ». Enfin, compte tenu de la nette augmentation des prix des carburants, une grande campagne de soutien à la liquidité est nécessaire. Ces dernières semaines, les grandes enseignes alimentaires ont lancé des opérations à prix coûtant dans leurs stations-service. Mais est-ce suffisant ?Ni pour, ni contre, bien au contraire !

En entendant cette série d’annonces, le ministre des Comptes publics s’est exclamé. « La résolution votée par le Sénat n’aide pas les retraités, les travailleurs indépendants, les demandeurs d’emploi et les étudiants boursiers. Selon le calcul de la plupart des gens, cela « concerne six ou sept millions de personnes, jusqu’à huit personnes » ! être d’utiliser ces contradictions. Face à l’opposition, il a ajouté que la prime d’inflation a au moins l’avantage de cibler près de 40 millions de foyers. Doingbuzz limite le sentiment de faire face aux comptes des pharmaciens. A l’écrit, il est difficile de les partager. Heureusement, il y a est un pour tout le monde Le dernier recours ne devrait pas poser de problème !

Comme toujours, l’Assemblée nationale jouera le rôle d’arbitre. Olivier Dussopt souhaite sincèrement que les représentants puissent accepter ce principe de prime d’inflation. Les partis politiques s’inquiètent plus que jamais de cette mesure. Mais n’est-ce pas l’arbre qui cache la forêt ? Continuons de prier, la situation reviendra bientôt à la normale et nous pourrons commencer 2022 l’esprit plus serein. Passez au prochain numéro, à bientôt pour une nouvelle aventure !

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