En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Birmanie : L’armée reprend le pouvoir



Des militaires hauts placés continuent de contester la victoire de la dirigeante Aung San Suu Kyi après les élections législatives de novembre dernier. L’armée a finalement repris le pouvoir, arrêté Aung San Suu Ky et a déclaré l’état d’urgence pour un an.


En Birmanie, l’armée a repris le pouvoir. Lors d’une opération militaire effectuée ce lundi dès l’aube, la dirigeante birmane et plusieurs autres représentants de son parti ont été mis aux arrêts.

Lire aussi : Les États-Unis ajoutent ce pays africain à la liste noire de la liberté religieuse

Un coup d’Etat à ne pas accepter, selon Aung San Suu Kyi, après plusieurs jours de tensions notés entre le gouvernement civil et l’armée suite aux élections législatives de novembre 2020. Cette dernière a été arrêtée par l’armée, a indiqué ce matin, le porte-parole de son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (NLD).


« Nous avons entendu dire qu’elle est détenue à Naypyidaw, nous supposons que l’armée est en train d’organiser un coup d’État », pouvons-nous entendre de Myo Nyunt, porte-parole du parti. Cependant, la dirigeante birmane a elle même sorti un communiqué appelant les habitants à une manifestation contre l’armée. « J’exhorte la population à ne pas accepter cela, à réagir et à manifester de tout cœur contre le putsch mené par l’armée », a mentionné Aung San Suu Kyi avant d’ajouter que « Les agissements de l’armée sont des actions qui remettent le pays sous dictature ».

Lire aussi : Mali : la Russie se serait-elle impliquée dans le coup d’Etat militaire ?

Quant à l’armée birmane, elle a proclamé l’État d’urgence pour une période d’un an en nommant son commandant en chef, le général Min Aung Hlaing, comme président par intérim. Notons que pour ces militaires, cette mesure est nécessaire afin de préserver la « stabilité » de l’État, ont-ils affirmé sur la chaîne de télévision de l’armée, NAME.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !