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Biographie: Qui est en réalité Hamed BAKAYOKO ?



Hamed BAKAYOKO, né le 8 mars 1965 est un homme politique, homme de médias et homme d’affaires Ivoirien.
Proche collaborateur du Président Alassane OUATTARA, il est nommé par celui-ci Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur de la République de Côte d’Ivoire le 1er Juin 2011, après son investiture. Il reste à ce poste pendant six ans durant lesquels il réforme en profondeur l’institution policière. Sous son mandat, la criminalité baisse à un niveau comparable à celui des grandes capitales occidentales. Après une série de mutineries au sein des forces armées ivoiriennes au début de l’année 2017, Hamed BAKAYOKO change de portefeuille. En juillet 2017, il devient Ministre d’Etat, Ministre de la Défense, avec pour mission, la réforme des armées voulue par le Chef de l’Etat. L’objectif de cette réforme est de faire de l’armée ivoirienne, fruit de la fusion des Forces Nouvelles avec les Forces de Défense et de Sécurité, une armée unie, solidaire et républicaine au service de la nation Ivoirienne.

Img 0861 Small 1632EHamed BAKAYOKO est un enfant du quartier populaire d’Adjamé, à Abidjan. Self made Man, sa réussite professionnelle et politique est un exemple de volonté et de travail pour la jeunesse ivoirienne qui lui voue une grande admiration.

Hambak, comme l’appellent affectueusement les ivoiriens, débute sa carrière après des études de médecine en créant en 1990, à l’âge de 25 ans, le Journal Le Patriote dont il est le directeur de la Publication.

Le futur Ministre se forge alors une solide réputation de polémiste et de manageur. Le journal atteint rapidement l’un des plus gros tirages du pays.

Les médias le passionnent depuis toujours. Dès l’école élémentaire, il n’a cessé de diriger des journaux et publications scolaires. À 28 ans, il prend les commandes de la première radio Privée commerciale de Côte d’Ivoire, Radio Nostalgie CI, puis, en 2000 il devient le PDG de Nostalgie Afrique. Il est élu Président du Conseil National des Patrons de Presse de Côte d’Ivoire en 2001.

Il vient à la politique par le militantisme estudiantin. Il occupe de nombreuses responsabilités à la tête de différentes associations d’étudiants comme l’Amicale des Elèves et Etudiants Ivoiriens au Burkina Faso (1986) ou la Jeunesse Estudiantine et Scolaire du PDCI (1990) qu’il Préside.

En 1994, Le Patriote est suspendu par les autorités et Hamed BAKAYOKO séjourne en prison plusieurs mois pour outrage au Président de la République. La suspension du journal durera cinq ans.

Décidé à compter dans le débat et le combat politique, Hamed BAKAYOKO relance Le Patriote en 1999 avec une parution quotidienne (il était hebdomadaire à son lancement) pour porter les idées de son camps.

Pour la première fois Ministre en 2003, il entre dans le gouvernement d’union nationale à la faveur des accords de Marcoussis. Il obtient le tout nouveau portefeuille des Télécommunications et des NTIC dont il fait un ministère d’importance. Un poste qu’il occupe durant sept ans, jusqu’en 2010, lorsque le Président Gbagbo dissout le gouvernement.

En 2011, Hamed BAKAYOKO tient une place éminente dans le dispositif d’ADO (surnom du Candidat Alassane Dramane OUATTARA) durant la campagne présidentielle. Il a la confiance du futur President et porte aux quatre coins du pays son énergie et une capacité rare à galvaniser militants et électeurs. Il est aux côtés du Président élu à l’hôtel du Golf, pendant toute la durée des événements dramatiques qui ont ensanglantés le pays durant la crise poste électorale.

Aujourd’hui, Hamed BAKAYOKO, numéro 2 du gouvernement, œuvre avec acharnement à l’apaisement entre les familles de pensées en Côte d’Ivoire et à la réconciliation des ivoiriens entre eux.

Selon les rumeurs, Bakayoko est franc-maçon et grand maître de Côte d’Ivoire.

Voici une petite histoire

Lire aussi sur DOINGBUZZ : Hamed Bakayoko offre des maisons à la femme de Dj Arafat et sa mère

En Côte d’Ivoire, la montée en puissance de la loge américaine Prince Hall met en évidence le désir de couper le cordon ombilical avec les obédiences françaises. Il y a encore dix-huit mois, la Grande Loge de Côte d’Ivoire (GLCI) ronronnait doucement. Quelque 400 membres actifs et un grand maître, Magloire Clotaire Coffie, réputé indéboulonnable depuis plus de trente ans… Beaucoup disaient : « Clotaire a survécu aux régimes d’Houphouët, Bédié, Gueï et Gbagbo. Il ne peut plus rien lui arriver. » Qui plus est, ses liens avec la toute-puissante Grande Loge nationale française (GLNF) – classée à droite – semblaient rendre la GLCI invincible. Les deux loges pouvaient snober avec superbe toutes les rencontres organisées en Afrique par les autres obédiences, comme les dernières Rencontres humanistes et fraternelles africaines et malgaches (Rehfram) de Kinshasa. Jusqu’à l’an dernier, tout allait bien… Premier coup dur, début 2012 : la grande soeur de France, la GLNF de François Stifani, avocat d’affaires niçois proche de Nicolas Sarkozy, se déchire. À Paris, Alain Juillet, un ancien chef des services secrets français – et neveu de Pierre Juillet, l’ex-mentor de Jacques Chirac -, lance avec succès une loge concurrente, la Grande Loge de l’alliance maçonnique française (GLAMF), qui attire très vite un bon tiers des membres de la GLNF. En septembre 2012, catastrophe : la maison mère de toutes les loges maçonniques, la Grande Loge unie d’Angleterre (GLUA), retire sa reconnaissance à la GLNF – la seule obédience française qui pouvait s’en prévaloir. Depuis six mois, Clotaire ne sait plus à quelle obédience se vouer. Un Grand Maître provincial de la GLCI confie : « Comme on est très attaché à la France, on attend que les problèmes se règlent ». À lire aussi :  » La Françafrique sous le maillet de la franc-maçonnerie » Dissidence Second coup dur pour le vieux Magloire Clotaire Coffie : à Abidjan, un dissident impatient de lui prendre le « maillet » de grand maître, l’avocat Louis Metan, part avec une cinquantaine de frères ivoiriens et crée une nouvelle loge. Scandale : il ne se rapproche pas d’une autre obédience française, comme le Grand Orient de France – classé à gauche -, mais de Prince Hall, la loge la plus influente outre-Atlantique chez les Africains-Américains, notamment à la CIA et au Pentagone. En juin, lors d’un voyage à Houston, Me Metan obtient même de la Grande Loge Prince Hall du Texas le droit de créer à Abidjan une petite soeur, la Grande Loge Prince Hall de Côte d’Ivoire. En décembre, Clotaire contre-attaque. Il part à Washington pour faire retirer la patente Prince Hall à la loge de Metan. L’affaire est toujours pendante, mais le fait est là : les frères américains, déjà très puissants au Liberia, ont désormais un cheval de Troie en Côte d’Ivoire, où ils se retrouvent en situation d’arbitres. Bien sûr, tout cela n’est pas mortel. Installé dans son restaurant sur la route de Bassam, Clotaire continue de recevoir les frères de sa loge, qui l’appellent « papa ». Le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko, le directeur de cabinet à la présidence Marcel Amon Tanoh… De nombreux poids lourds du nouveau régime ivoirien, dont certains ont été initiés par Djibrill Bassolé, le ministre burkinabè des Affaires étrangères, appartiennent à la GLCI. Preuve de sa capacité de résistance : la loge ivoirienne vient de recruter le procureur de la République d’Abidjan-Plateau, Simplice Kouadio Koffi. Mais la dissidence de Louis Metan révèle l’existence d’un vrai malaise dans l’univers maçonnique ivoirien. La GLCI a beau dire que les faux frères de Prince Hall sont manipulés par le camp Gbagbo, ce n’est pas si simple. Comme les loges du Gabon et du Congo-Brazzaville, la GLCI est gangrenée par des affairistes qui cherchent avant tout à se rapprocher du pouvoir en place. « Dans certains pays africains, les intellectuels constatent qu’il est impossible d’envisager une carrière professionnelle ou politique sans être maçon », s’indigne Robert Dulas, un ancien « officier » de la GLNF, qui est aujourd’hui Grand Maître de la Grande Loge des maçons réguliers de France (GLMRF). C’est la fameuse maçonnerie du ventre. « Les maçons sont partout, la maçonnerie nulle part », soupire Joseph Badila, l’un des fondateurs du Grand Orient à Brazzaville. À lire aussi :  » Franc-maçonnerie, le petit bréviaire du futur initié  » « Tes copains de Paris sont venus. Ils m’ont fait passer directement au 33e degré », a confié un jour Robert Gueï à un ami français. C’était au lendemain de son putsch de Noël 1999. En quelques heures, le général Gueï était devenu l’un des hauts gradés de la GLCI, alors que, le matin même, il n’était même pas maçon ! Comme les jésuites au XVIIe siècle, plusieurs loges font de l’entrisme auprès du prince du moment dans l’espoir de vaincre sa méfiance éventuelle et d’accroître leur influence. Mais la stratégie est risquée. « Face à la barrière maçonnique, dit Robert Dulas, j’ai vu chez des intellectuels africains de l’écoeurement, voire de la haine. » Lire l’article sur Jeuneafrique.com : | Enquête : les nouveaux francs-maçons | Franc-maçonnerie : vers une guerre des loges en Côte d’Ivoire ? | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique Follow us: @jeune_afrique on Twitter | jeuneafrique1 on Facebook
franc-maçonnerie .
Il est vrai que l’ex-président centrafricain, entré chez les ‘‘Frères trois points’’ sous la houlette de son homologue congolais (lequel a également parrainé le chef de l’État tchadien), est un franc-maçon du genre têtu. ‘‘J’ai tout essayé avec lui, mais son obstination à n’en faire qu’à sa tête a été la plus forte’’, confie un ministre franc-maçon de cette région du continent qui joua longtemps le rôle de médiateur entre le maître de Bangui et son opposition avant de rendre son tablier. ‘‘Et puis, à tort ou à raison, certains d’entre nous n’ont jamais pardonné à Bozizé la disparition en 2010 de notre frère Charles Massi, qu’Omar Bongo avait pris sous son aile.’’ Si François Bozizé pensait que l’adhésion à la franc-maçonnerie équivalait à souscrire une assurance-vie pour le pouvoir, il a donc eu tort. D’autant que, sur les rives de l’Oubangui, la continuité semble assurée. Le président autoproclamé, Michel Djotodia, n’est certes pas maçon (tout au moins pas encore), mais son Premier ministre Nicolas Tiangaye, le ministre d’État Crépin Mboli-Goumba et un ou deux autres membres du nouveau gouvernement, sont familiers des loges et des obédiences. Nul doute que, dans les mois à venir, la relève va prendre du volume. Fraternité désinhibée En Afrique francophone, la franc-maçonnerie est un phénix: elle renaît toujours des cendres de ses échecs. En Centrafrique, mais aussi à Madagascar, en Côte d’Ivoire, au Togo, au Tchad et, bien sûr, au Congo-Brazzaville, où le sanglant duel des initiés, en 1997, est encore présent dans toutes les mémoires, l’incapacité de cette institution à régler les conflits dans le secret des temples n’a jamais entamé la fascination qu’elle exerce sur le commun des élites. Une attraction en partie liée au constant renouvellement des relais français haut placés, perçus comme autant de sésames. À Paris, où le Grand Orient a le vent en poupe depuis l’élection de François Hollande, chacun sait ainsi (ou croit savoir) que les ministres Manuel Valls et Jean-Yves Le Drian, mais aussi les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat Claude Bartolone et Jean-Pierre Bel, des personnalités socialistes influentes comme Élisabeth Guigou, Jean-Marie Le Guen, François Rebsamen et même Jean-Luc Mélenchon, revêtent le tablier avec plus ou moins d’assiduité. Pourtant, depuis un ou deux ans, un mouvement se dessine sur le continent, vers une sorte de retour aux sources et de purification de la franc-maçonnerie africaine. De plus en plus critiques à l’encontre de leurs frères puissants dont ils pointent les compromissions de profanes, des francs-maçons ‘‘d’en bas’’, jeunes cadres, intellectuels, femmes et hommes, prônent une maçonnerie débarrassée des miasmes de la Françafrique et de ces pollutions collatérales que sont le fétichisme, la sorcellerie et les pratiques amorales. Ces ‘‘nouveaux francs-maçons’’ recherchent une fraternité désinhibée, soucieuse avant tout de bonne gouvernance et de respect des droits de l’homme, où ésotérisme rime avec progrès, où la sagesse ancestrale retrouve sa place au milieu du village. Les vrais successeurs de Félix Éboué, de Blaise Diagne, de l’émir Abdelkader ou de Victor Schoelcher ne sont certes pas encore connus. Mais ils ne vont pas tarder à secouer les piliers du temple…Les « nouveaux francs-maçons » africains voudraient emprunter une voie différente à celle de leurs aînés. Une voie qui passe notamment par la bonne gouvernance et le respect des droits humains, suivant le modèle tracé par Félix Éboué, Blaise Diagne, l’émir Abdelkader ou encore Victor Schoelcher… La révolution est en marche sur le continent. Beaucoup de maçons, bien peu de maçonnerie. Au regard de la dernière crise centrafricaine, la fraternité sous le maillet des vénérables triponctués d’Afrique centrale apparaît plus que jamais illusoire. Denis Sassou Nguesso, Ali Bongo Ondimba, Idriss Déby Itno et François Bozizé, ont beau appartenir à cet ordre initiatique prônant la solidarité entre ses membres, cela ne les a pas empêchés de lâcher le dernier nommé, confronté à une rébellion, voire, pour l’un d’entre eux, de lui administrer le coup de grâce.

C’est pour quand le pèlerinage du Frère maçon Dramane Alassane à la Mecque ? Alors qu’il s’est annoncé dans la Grande Loge Nationale de France (GLNF) comme un « illuminé », l’ivoirien qui a la capacité de mentir tout en regardant son interlocuteur droit dans les yeux a rejoué une pièce théâtral à la Shakespeare le 6 novembre 2011, date de l’Aïd el-Kebir ou fête du mouton. Vêtu de blanc, et bardé des amulettes « Dozos » tout autour de la hanche, Dramane est venu mystifier les musulmans de Côte d’Ivoire. Bien que des langues en Eburnie disent qu’il a pour ennemi premier, Allah et le prophète Mahomet, il semble s’en taper. N’a-t-il pas fait de la célèbre phrase du dictateur Mobutu : « Les chiens aboient la caravane passe » son dada journalier ? Alors que rien ne le lie avec toutes les recommandations d’un musulman pratiquant, l’homme a fini par faire de cette religion, un tremplin. Et pour cause, c’est au nom du prophète Mahomet qu’il a pu bien mentir au monde entier qu’on ne voulait pas de lui comme président en Côte d’ivoire parce que, lui Alassane était «musulman» dans l’âme. C’est au nom d’Allah, qu’il a fait tuer l’enfant, la veuve, le pauvre, l’hindicapé. C’est même au nom d’Allah qu’il a laissé ses loubards braqués la BCEAO dans sa ville sainte de Bouaké, fiefs de ses vizirs qui ont mené la croisade contre les peuples du sud-ouest ivoirien taxés d’animistes. C’est au nom d’Allah, qu’il est aussi devenu président un soir du 11 avril 2011 au prix de 1203 ivoiriens cloutés et passés à la machette au petit matin dans la petite ville de Duekoué. Un record ! Dramane Alassane, c’est le tueur au visage du parafait Frère maçon. Depuis son arrivée au pouvoir comme « guignol » d’un Occident dépassé par les évènements de ses dettes, son premier vrai bilan est d’avoir greffé au sommet de l’Etat la Franc-maçonnerie et fait des milliers de chômeurs. Signe des temps, la RTI qui flambait de tout le respect sur le continent a dû mettre 500 pères et mères de famille au chômage sans que le pestiféré d’économiste international n’ait trouve une solution pour ces Ivoiriens. La Lettre du continent recoupe ce travail de génie de Ouattara à faire des premiers responsables de son pays des exorcistes et de vendeurs d’illusions : Selon ce canard en ligne français (La lettre du continent N° 615 du 07/07/11) , la franc-maçonnerie est une véritable marque de fabrique du gouvernement ivoirien. Le beau-père de Hamed Bakayoko il est marié à Yolande Tanoh) Emmanuel Kouadio Tanoh, ancien bâtonnier de l’ordre des avocats, est le haut dignitaire de la Grande loge de Côte d’Ivoire (GLCI) et proche d’Alassane Ouattara. (La Lettre du continent N° 618 du 08/09/2011). Henriette Diabaté, notre chancelière, Adama Bictogo, Amon Tano Marcel, Amadou Gon, Amadou Soumahoro, Sidiki Konaté. Et dire qu’il a même réussi à faire rentrer une femme comme Henriette Diabacté dans ce foutoir de prébendiers dans les pays africains ! Alors qu’on bassinait aux oreilles des africains qu’il arrivait avec des solutions, le Boucher d’Abidjan semble être arrivé avec des problèmes à mille équations difficilement résorbables. Il annonce dans 18 mois, 50.000 emplois après avoir fait en six mois de pouvoir 87.000 chômeurs. Bien pire, il s’est donné le devoir de s’entourer des pires « coqs français », eux aussi sortis droit des eaux boueuses de la Franc-maçonnerie. Son oncle Abou Cissé ne va pas des quatre chemins pour décrire la nouvelle Côte d’Ivoire : « La Côte d’Ivoire est devenue une île paradisiaque pour les fêtards occidentaux ». Il paraît que Ouattara ne croit ni en la République moins à ses vertus qui se construit par des règles saines et claires applicables à tous ses enfants. Si l’Allemagne garde une grande méfiance particulière sur les loges et toutes les autres sciences mystificatrices, le Boucher d’Abidjan a plutôt pensé que seul la Franc-Maçonnerie peut le hisser au sommet et hisser par ricochet ses fiers tribuns des Forces Nouvelles(FN) encore avec des treillis souillés de sang dans la république. Et il ne manquait que ce recoupement pour attester tout ce que nous pensons bien du président installé par Georges Soros, Obama et Sarkozy : « La solidarité est la première vertu des maçonniques. C’est qui explique l’engagement du président français aux côtés d’Alassane Dramane Ouattara dans sa guerre contre les ivoiriens et de tous les « frères » de la loge autour de ce dernier. On peut citer par exemple son conseiller des questions économiques Philippe Serey-Eiffel, né le 13 juin 1953 à Neuilly-sur-Seine, sa conseillère en communication Anne Meaux née le 7 juillet 1954 à Neuilly-sur-Seine. Du général Claude Reglat, son Chef d’Etat-major en passant par Antoine Cesaréo son officieux ministre des Affaires Etrangères à Fréderic Bedin PDG de Public Système, tous des sont des « frères illuminés ». Bienvenue dans la Ouattarandie !
tu ne t’es jamais posé la question pourquoi la france à préféré ouattara ??

 

 

Biographie

Hamed Bakayoko né le 8 mars 1965 à Abidjan, Secrétaire national aux Finances du RDR, il entre au gouvernement en qualité de ministre des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l`Information et de la Communication (NTIC) en mars 2003. Il était ministre d`Etat, ministre de l`Intérieur et de la sécurité avant sa nomination, mercredi 19 juillet 2017, à la tête du ministère de la Défense.

Homme de média, Hamed Bakayoko est à l’âge de 25 ans le directeur de publication du quotidien « Le Patriote ».

A 28 ans, il prend les commandes de la première radio privée commerciale de Côte d’Ivoire, Radio Nostalgie.

En 2000, le voici PDG de Nostalgie Afrique. Sa présence dans les médias ne relève pas du hasard mais est plutôt le résultat d’une ambition saine. Déjà en classe de CM2, il crée et dirige le journal de son école.

Par la suite il dirige le Journal du Collège Moderne d’Adjamé et assume très jeune de nombreuses responsabilités à la tête de différentes associations estudiantines, notamment celle de l’Amicale des Elèves et Etudiants Ivoiriens au Burkina Faso (1986) et de la Jeunesse Estudiantine et Scolaire du PDCI (1990).

C’est donc sans surprise qu`il prend la tête du Conseil national des patrons de presse de Côte d’Ivoire.

Curriculum Vitae

– Né le 8 mars 1965 à Abidjan

Expérience Professionnelle
– 2011: Ministre de L`Interieur
– Mars 2003: Ministre des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication.
– 2000: Président Directeur Général de Radio Nostalgie Afrique.
– 1997: Représentant de Radio Nostalgie pour l`Afrique.
– 1993: Président Directeur Général de Radio Nostalgie Côte d`Ivoire
– 1991: Journaliste Directeur de Publication du Journal le PATRIOTE

Formation

– 1988 – 1990: DCEM I, 2ème Cycle d’Etudes de Médecine, Faculté de Médecine d’Abidjan
– 1985 – 1988: PCEM I – PCEM II, ESS.SA (Ecole Supérieure des Sciences de la Santé), Université de Ouagadougou
– 1985: DEUG I, I.M.P. (Institut de Math Physiques), Université de Ouagadougou
– 1984: Baccalauréat série D, Collège Notre Dame d’Afrique
– 1983: Bac probatoire D, Collège Notre Dame d’Afrique

Vie Associative et Culturelle

– 1978: Président de la Coopérative Scolaire à l’Ecole Primaire d’Adjamé.
– 1978: Rédacteur en Chef du Journal du Collège Moderne d’Adjamé
– 1980: Président de l’Association des Elèves et Etudiants Musulmans de Côte d’Ivoire, section CMA
– 1986: Président de l’Amicale des Elèves et Etudiants Ivoiriens au Burkina Faso
– 1983: Président JESPDCI (Jeunesse Estudiantine et Scolaire du PDCI)
– 2001: Président du CNPPCI (Conseil National des Patrons de Presse de Côte d’Ivoire).

Informations supplémentaires

Conférences internationales :

– 06 au 24 Novembre 2006: 17ème Conférence Ordinaire Plénipotentiaire de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), Antalya (Turquie)
– 12 au 17 Juillet 2006: Conférence Ordinaire Plénipotentiaire de l`Union Africaine des Télécommunications (UAT), Tripoli (Lybie)
– 8 au 11 Mai 2006: 6ème session des Ministres en charge des NTIC de la CEDEAO, Abuja (Nigéria)
– 04 au 06 Mai 2006: Sommet annuel de l`Investissement en NTIC en Afrique, Kigali (Rwanda)
– 18 au 20 Avril 2006: 1ère réunion des Ministres en charge des NTIC – Le Caire (Egypte)
– 07 au 15 Mars 2006: Conférence Mondiale de développement des Télécommunications – Dakar (Sénégal)
– 12 au 17 Février 2006: Participation au Forum Mondial dénommé « 3GSM World Congress » – Barcelone (Espagne)
– 14 au 17 Février 2005: Colloque sur la téléphonie mobile de troisième génération – Caen (France)
– 1er au 04 Novembre 2004: 1ère Conférence des Ministres en charge de la Science et de la Technologie – Abuja (Nigéria)
– 5 Septembre au 05 octobre 2004: 23ème Congrès Mondial de l`Union Postale Universelle (UPU) – Bucarest (Roumanie)
– 09 au 13 Aout 2004: Réunion des Ministres en charge des Télécommunications – Lomé (Togo)
– 24 au 25 juin 2004 : 6ème Session Ordinaire de la Conférence des Plénipotentiaires de l`Union Panafricain des Postes (UPAP) – Tunis (Tunisie)
– 04 au 10 Mai 2004 : « UIT Telecom Africa » – Caire (Egypte)
– 11 au 18 octobre 2003: « ITU Telecom 2003 » – Genève (Suisse)
– 29 au 30 Septembre 2003: 8ème Assemblée des Parties de RASCOM – Yaoundé (Cameroun)
– 22 au 23 Septembre 2003: Forum Microsoft des Chefs d`Etat et Membres de Gouvernements Africains – Johannesburg (Afrique du Sud)
– 04 au 05 Septembre 2003: Conférence des Ministres sur la Société de l`Information – Rabat (Maroc)
– 20 au 27 Aout 2003: 1ère session extraordinaire de la Conférence des plénipotentiaires de l`Union Africaine des Télécommunications (UAT) – Abidjan (Côte d`Ivoire)

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