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Iran : Téhéran fixe ses lignes rouges face au deal nucléaire



Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, s’est dit prêt à se rendre à Vienne pour finaliser les discussions sur la restauration de l’accord nucléaire de 2015 avec les puissances occidentales dès que toutes ses lignes rouges auront été prises en compte.

« L’exigence de la présence des ministres des Affaires étrangères à Vienne et l’annonce d’un accord final sont subordonnées au plein respect des lignes rouges déclarées par l’Iran, y compris des garanties économiques efficaces », a déclaré Hossein Amirabdollahian.
Pour sa part, Josep Borrell, le chef de la diplomatie de l’Union Européenne(UE) a indiqué qu’il pensait que la plupart des demandes de l’Iran avaient été satisfaites et que les pourparlers pour rétablir le Plan d’action global (JCPOA) étaient sur la voie de leur conclusion.
Par ailleurs, l’Iran a appelé à la levée d’un large éventail de sanctions y compris la désignation d’organisation terroriste étrangère pour le Corps des gardiens de la révolution islamique. Le corps des gardiens de la révolution islamique constitue en effet, une unité d’élite du régime iranien.
Cependant, les principaux représentants des trois pays européens ont continué le 04 mars à tenir des réunions de haut niveau avec le négociateur en chef iranien Ali Bagheri Kani et le vice-ministre iranien des affaires étrangères chargé de la diplomatie économique, Mehdi Safari.
La Russie et la Chine continuent également de soutenir le rétablissement de l’accord nucléaire de 2015, car il semble que la guerre en Ukraine n’ait eu aucun effet sur la volonté des parties de soutenir les pourparlers.
Une question majeure qui devrait être discutée est la demande de Téhéran concernant une enquête de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique) sur quatre sites nucléaires.
Téhéran qui affirme que les particules datent d’il y a plus de 10 ans, considère que l’enquête est un stratagème politique de l’Occident et d’Israël. Elle insiste sur le fait que la question des éventuelles dimensions militaires de son programme nucléaire a été résolue dans le cadre des pourparlers originaux du JCPOA.
L’AIEA a publié le 03 mars son dernier rapport confidentiel sur l’Iran qui, selon des documents divulgués aux médias occidentaux, indique que l’Iran possède 33,2 kilogrammes d’uranium enrichi à 60 %, contre 17,7 kg en novembre 2021.
Pour rappel, le JCPOA a limité les niveaux d’enrichissement de l’Iran à 3,67 % et son stock à 202,8 kg jusqu’en 2031.Mais le pays a progressivement abandonné ces restrictions après le retrait des Etats-Unis en mai 2018 de l’accord nucléaire sous la présidence de Donald Trump.

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