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« J’ai perdu une maison à cause de la politique »



Célestin Djamen, le président de l’Alliance républicaine patriotique (APAR), vient de faire une troublante révélation. Interrogé sur les sujets brûlants de l’actualité camerounaise, notamment les manifestations contre le président Paul Biya en Suisse, l’immigration clandestine de jeunes camerounais, les libertés civiles au Cameroun devenues problématiques et le SDF qui bat son plein, le politicien n’est pas passé par quatre chemins avant de cracher ses intentions.

Au Cameroun, le décès d’une jeune fille partie en aventure alimente les débats. Intervenant au microphone de ABK radio ce jeudi 5 août 2021, Célestin Djamen s’est exprimé sur la Brigade antisardinards (B.A.S), ses ambitions politiques et l’immigration clandestine. Pour lui, ce décès choque l’imagerie populaire.

Sur les ondes de Radio ABK, Célestin Djamen  avoue qu’il avait perdu une maison à cause de la politique. Très confiant, il a estimé que son parti : l’Alliance républicaine patriotique (APAR) est dans le top 5 des partis politiques.

Parlant du décès de la Camerounaise au désert nigérien, «  cette image est choquante et révoltante. Il n’y a rien à avoir en Europe, on peut réussir en Afrique et au Cameroun », indique-t-il sur les antennes de ABK, une radio privée émettant depuis Douala au Cameroun.

Pour l’ancien membre du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), « à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Il n’y a aucun mérite de se lancer dans une aventure sans épines », ajoute-t-il.

Revenant sur sa situation aujourd’hui, il dit assumer ses actions antérieures, et croit par ailleurs qu’il est loisible de vivre dans son pays natal. « Je vis dans la perspective de ma passion pour mon projet… J’ai certes perdu une maison à cause de la politique, mais je ne vis pas avec des regrets. Ça vaut la peine de vivre au Cameroun », clame-t-il.

Célestin Djamen, qui a claqué la porte du Social Democratic Front (SDF) par le passé, estime que son parti APAR fondé en avril dernier est en passe de figurer dans le top 5 des partis politiques en vogue au Cameroun. Son parti APAR devance le SDF, son ancien parti politique.

 

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