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Ibrahim Boubacar Kéita aurait demandé l’aide des Chefs d’Etat africain pour cette raison



L’ancien président malien, Ibrahim Boubacar Kéita voudrait éviter la case prison à son fils, Karim Keïta. Après l’inculpation du général Moussa Diawara, l’ancien patron de la Direction générale de la sécurité d’État (DGSE), impliqué dans l’affaire du journaliste Birama Touré, l’ex-dirigeant craindrait que l’étau se resserre contre son fils, aujourd’hui réfugié en Côte d’Ivoire. Selon News Bamako, IBK aurait demandé l’aide des Chefs d’Etat de la sous région.

L’ex-patron des renseignements d’Ibrahim Boubacar Kéïta, le général Moussa Diawara, est placé sous mandat de dépôt à la gendarmerie du camp I. Il a été appréhendé le jeudi 29 juillet, en raison de complicité d’enlèvement, de séquestration et de torture dans le cadre de l’affaire de la disparition du journaliste malien Birama Touré. Cette situation indisposerait IBK puisque son fils, Karim Kéïta serait dans également dans les viseurs de la justice malienne à cause de cette affaire.

Ibrahim Boubacar Kéïta compte-t-il sur l’aide des Chefs d’Etat africain pour éviter la prison à son fils ?

L’ex-président de la République, selon les informations de nos confrères de News Bamako, serait entrain de chercher activement une solution pour sortir l’épingle de son fils du jeu. Ibrahim Boubacar Kéïta serait entrain de faire une requête auprès de ses ex-homologues ouest-africains pour éviter la prison à Karim Kéïta, également cité dans le dossier « Birama Touré ».

« IBK leur aurait demandé de peser de tout leur poids, auprès du colonel Assimi Goïta, président de la Transition, pour éviter la prison à son fils », selon notre source qui détient cette information de ses sources généralement, « dignes de pancréas ». Le média renseigne que l’ex-président aurait eu la promesse de certains dirigeants ayant promis d’agir en faveur de sa demande. Par contre, d’autres lui auraient dit de laisser la justice malienne faire son travail.

Selon le média malien : « ils ( Ndlr : ces Chefs d’Etat ) avaient tous attiré son attention, quand il était au pouvoir, sur les agissements de son fils, inacceptables dans un Etat de droit ».

Un mandat d’arrêt international émis contre Karim, le fils d’Ibrahim Boubacar Kéïta

 

Au début du mois de juillet, un juge d’instruction de Bamako avait émis un mandat d’arrêt international afin que Karim Keïta soit entendu. En effet, enquêtait sur une affaire de mœurs impliquant Karim Keïta, le fils de l’ancien président malien avant son décès.

Reporter Sans frontière (RSF) avait révélé dans une enquête que le journaliste avait été arrêté et détenu dans une prison secrète de la sécurité d’État pendant plusieurs mois. Le reporter avait ensuite été tué par balles à la fin de l’année 2016.

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