En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

France : Kofi Yamgnane devant le tribunal correctionnel de Paris



Le franco-togolais, Kofi Yamgnane a à faire avec la justice française. L’ancien opposant du régime de Lomé résidant à Paris depuis quelques années sera jugé à partir de ce lundi 12 septembre 2022 par le tribunal correctionnel de Paris pour trafic d’influence au côté de 18 autres prévenus.

Lire aussi : Génocide rwandais : la France abandonne l’enquête sur la complicité de ses militaires

C’est une affaire qui remonte en 2014. Tout a commencé avec une manœuvre du présumé, Christophe Rocancourt soupçonné d’avoir tenté de faire régulariser deux Marocaines sans papier. Une affaire dans laquelle il a fait appel au franco-togolais, Kofi Yamgnane.

Lire aussi : Togo : que sait-on de Tchatikpi Ouro-Djikpa, l’ancien bras droit de Tikpi Atchadam ?

La justice française soupçonne Kofi Yamgnan d’avoir touché en 2015 une enveloppe de 3 000 euro en échange d’une promesse d’intervention auprès du ministre de l’Intérieur de l’époque. Devant les juges d’instruction, Kofi Yamgnan s’est défendu d’avoir été payé pour faire jouer ses réseaux. Le procès doit durer jusqu’au 5 octobre prochain.

Né le 11 octobre 1945 à Bassar (Togo), Kofi Yamgnane est un homme politique franco-togolais. Il est secrétaire d’État chargé de l’Intégration auprès du ministre des Affaires sociales et de l’Intégration de 1991 à 1993, conseiller régional de Bretagne de 1992 à 1997 et député socialiste du Finistère lors de la XIe législature de 1997 à 2002.

Lire aussi : Togo : Voici ces numéros verts pour signaler des cas de terrorisme

Au Togo, il présente sa candidature aux élections présidentielles togolaises de 2005 et de 2010, mais celle-ci est rejetée par la cour constitutionnelle en raison d’un « doute sur son identité », car ses documents d’état-civil mentionnaient deux dates de naissance différentes, à savoir les 11 octobre 1945 et 31 décembre 1945.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !