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Brigitte Bardot condamnée pour injure raciale, lourde amende annoncée



Le tribunal de Saint-Denis a condamné la quatrième Brigitte Bardot en 2021 pour injure raciste envers les Réunionnais. Sa fondation devra désormais payer une très lourde amende.

Le jeudi 4 novembre 2021, le tribunal de Saint Denis a finalement statué sur l’affaire concernant Brigitte Bardot. L’ancienne comédienne a en effet été accusée d’insultes racistes envers les Réunionnais. Une affaire aujourd’hui célèbre pour sa condamnation, qui a apparemment fait la une des journaux. Doingbuzz vous explique en détail.

Brigitte Bardot : la justice la condamne

Rappel des faits

En l’occurrence, tout a commencé en 2019, lorsque Brigitte Bardot a décidé de s’intéresser à la soi-disant cruauté envers les animaux sur l’île de la Réunion. L’actrice a donc prononcé un discours public pour exprimer son indignation face aux conditions de vie des animaux de la région. Non seulement elle n’a pas exprimé simplement son point de vue, mais elle n’a pas hésité à s’exprimer dans ses propos aux riverains. Elle a en fait affirmé que les Réunionnais « gardaient leurs gènes sauvages ».

Dans le même temps, Brigitte Bardot écrit au gouverneur de la Province de la Réunion, Amory de Saint-Quentin, affirmant avoir reçu un grand nombre de courriers condamnant les comportements barbares des Réunionnais sur les animaux. Bien plus que cela, elle compare même la province française à « Alcatraz », où il y a une « population dégénérée, encore pleine de traditions d’origine barbare ». Ces propos n’ont évidemment pas suscité beaucoup de réactions négatives de la part du peuple et des hauts dirigeants du pays. La ministre des Outre-mer Annick Girardin a bien précisé que « le racisme n’est pas une opinion ». Une affirmation selon laquelle Brigitte Bardot a dépassé toutes les limites acceptables en la matière. Ce à quoi la star a dû répondre devant le tribunal. Objeko a tout expliqué en détail.

Un procès très attendu

Au cours du débat, l’avocat de Brigitte Bardot a affirmé que son client n’avait qu’un seul objectif, et c’était de défendre la cause animale. Selon elle, en raison des circonstances tragiques de cette question, il est en effet urgent d’agir. Cependant, l’ancienne actrice a par la suite avoué en faire trop et s’est excusée auprès des Réunionnais. Pour la procureure Bérengère Prudhomme, ce revirement n’est clairement pas suffisant. Cela évoque les mots « offensant » et « nuisible » qui appellent une condamnation exemplaire.

 

Jeudi 4 novembre 2021, à l’issue du procès, le juge du tribunal de Saint Denis a finalement condamné Brigitte Bardot à 20.000 euros d’amende pour « insulte raciale ». L’échec du fondateur de la Fondation Brigitte Bardot, il espère certainement pouvoir traverser les difficultés sans sanctions. Cependant, il ne faut pas oublier que ce n’est pas la première fois que l’ancien mannequin et chanteur fait la une des journaux lors de tels incidents. Au fil des années, Brigitte Bardot est devenue à plusieurs reprises le cœur des affaires juridiques. Elle a été condamnée à cinq amendes pour incitation à la haine raciale, et certains de ses propos ont en effet été jugés à plusieurs reprises.

 

Des polémiques permanentes

Si Brigitte Bardot fait partie des actrices et chanteuses préférées des Français depuis des décennies, alors elle ne parle plus de l’aspect artistique. Bien que son combat pour la défense des animaux ait été salué par de nombreuses personnes, sa position extrêmement forte et parfois excessive semble loin de faire l’unanimité. Elle ne manquera pas de commenter un grand nombre de sujets que la loi considère comme illégaux. Il faut se souvenir de ses rituels anti-immigration, anti-islam français, anti-abattage d’animaux, et même sa position de sang-mêlé en choisissant le vocabulaire qui l’a amené en justice.

Du point de vue de la protection animale, Brigitte Bardot n’a pas hésité à défier le monde de la chasse dont elle semblait très dégoûtée. Dans ce cas également, elle n’est pas du genre à utiliser des mots très durs pour s’opposer à certaines personnes qui pensent que c’est la tradition française de la rabaisser. Un sujet sur lequel les avis sont bien sûr partagés. Mais de toute façon, si quelqu’un comprend le combat de Brigitte Bardot, il semble toujours déconnecté de la façon dont elle a décidé de se battre. Un point de vue clairement endossé par le système judiciaire rappelle aujourd’hui encore que tout ne peut pas être dit sans conséquences.

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