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Birmanie : la junte avertit les manifestants qu’ils risquent de mourir



À quand la fin des manifestations en Birmanie ? Quelques semaines après le putsch du 1er février, la mobilisation contre la junte ne faiblit pas.  Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté encore dimanche.

Après un week-end de violences sanglantes. Les militaires ont averti les manifestants qu’ils risquaient de mourir s’ils protestaient contre le coup d’Etat qui a renversé Aung San Suu Kyi le 1er février.  Une alerte qui n’a pas empêché des milliers de personnes de descendre à nouveau dans les rues lundi 22 février.

« Les manifestants sont en train d’inciter les gens à se lancer sur la voie de la confrontation où ils périront », indiquait un communiqué lu sur la chaîne publique MRTV.

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Conscient de cette crise birmane, le rapporteur spécial de l’ONU pour les droits de l’Homme en Birmanie s’est dit profondément inquiet par ces menaces. Il met en garde la junte.

« Avertissement à la junte : contrairement à 1988, les agissements des forces de sécurité sont enregistrés et vous devrez rendre des comptes », a-t-il prévenu sur Twitter.

Selon l’Association d’aide aux prisonniers politiques, 640 personnes ont été arrêtées depuis le putsch. Parmi les personnes ciblées figurent notamment des cheminots, des fonctionnaires et des employés de banque qui ont cessé de travailler par solidarité avec l’opposition. La junte s’est par ailleurs attaquée aux communications en restreignant drastiquement l’accès à internet.

La montée des tensions a provoqué de nouvelles condamnations internationales, dénoncées dimanche soir par le ministère birman des Affaires étrangères comme une « ingérence flagrante », rapportent les medias locaux.

Aux dernières nouvelles, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne doivent se réunir ce lundi pour discuter d’éventuelles sanctions.

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