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Voici une liste de cancers gynécologiques qui affectent la fertilité des femmes



Le cancer gynécologique désigne tout cancer qui prend naissance dans les organes reproducteurs de la femme. Ces tumeurs malignes peuvent commencer n’importe où dans le bassin d’une femme, c’est-à-dire la zone située sous l’estomac et entre les os de la hanche. Elles constituent l’un des types de cancer les plus fréquents chez les femmes, ce qui en fait un problème de santé publique important.

« Il existe cinq principaux types de cancer gynécologique : le cancer du col de l’utérus, de l’ovaire, de l’utérus, du vagin et de la vulve. Un autre type extrêmement rare de cancer gynécologique est le cancer des trompes de Fallope. Le cancer du col de l’utérus commence dans le col de l’utérus, le cou de l’utérus. Et le cancer de l’utérus commence dans l’utérus ou la matrice, un organe en forme de poire situé dans le bassin de la femme, où le bébé grandit pendant la grossesse. Le cancer des ovaires peut se développer dans les ovaires, qui sont situés de chaque côté de l’utérus. De même, le cancer du vagin se développe dans le conduit tubulaire qui relie le fond de l’utérus à l’extérieur du corps. Et le cancer de la vulve se développe dans la vulve, la couche externe des organes génitaux féminins », explique le Dr Kshitiz Murdia, PDG et cofondateur d’Indira IVF.

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Impact des cancers gynécologiques

Les tumeurs malignes gynécologiques représentent 15 à 20 % de tous les cancers chez les femmes. Les cancers de l’ovaire et du col de l’utérus sont les cancers gynécologiques les plus fréquents chez les femmes dans le monde et, selon les recherches, en Inde. Le cancer du col de l’utérus est en recul, mais il reste le deuxième type de cancer le plus fréquent chez la femme, après le cancer du sein. Chaque année, en Inde, 1 22 844 femmes sont diagnostiquées avec un cancer du col de l’utérus, et 67 477 femmes en meurent.

« Les diagnostics de cancer chez les femmes en âge de procréer sont en augmentation, malgré la baisse des taux de mortalité. Selon les données actuelles, environ 75 % des femmes en âge de procréer chez qui un cancer a été diagnostiqué expriment le souhait d’avoir des enfants, ce qui incite à formuler de nouvelles priorités », explique le Dr Murdia, qui ajoute que le traitement du cancer gynécologique a un impact significatif sur la fertilité des femmes. « Après un diagnostic de cancer, la fonction sexuelle et le bien-être psychologique d’une patiente sont considérablement compromis : le désespoir, l’anxiété et le déclin de la qualité de vie sont des problèmes majeurs pour la prise en charge des patientes. La peur de perdre sa fertilité peut être plus débilitante que la maladie elle-même. Il est donc essentiel de répondre à ces inquiétudes des jeunes femmes afin que les préoccupations relatives à la fertilité ne compromettent en rien leur traitement contre le cancer », dit-il.

Il estime qu’il est essentiel d’informer les patientes atteintes d’un cancer du risque de développer une insuffisance ovarienne prématurée et une infertilité à la suite des traitements anticancéreux proposés, ainsi que de présenter et de discuter des nombreuses options disponibles pour préserver la fonction ovarienne et la fertilité. « Les jeunes patients atteints de cancer doivent consulter leur médecin pour connaître les meilleures options de préservation de la fertilité dans leur cas, car ces techniques diffèrent en termes de taux de réussite, de coût financier et de disponibilité », ajoute-t-il.

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Quelles sont les options de traitement ?

En fonction de la situation du patient, la congélation d’ovules ou d’embryons peut être recommandée. « Les techniques de préservation de la fertilité pour les patients atteints de cancer sont très variables et sont largement déterminées par l’âge du patient, son désir de travailler avec un partenaire masculin, le stade de la maladie et les antécédents de traitement », explique le Dr Murdia d’Indira IVF, qui estime qu’il est essentiel pour ces jeunes patients de recevoir des conseils à la fois d’un oncologue et d’un expert en fertilité.

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