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Le Tribunal Sud-Africain rejette la demande de radier un parti d’opposition



Un tribunal sud-africain a tranché mardi sur une affaire majeure, rejetant la demande émise par le parti au pouvoir, le Congrès national africain (ANC), visant à exclure un parti d’opposition rival des prochaines élections.

La décision du tribunal électoral est venue après que l’ANC a contesté la manière dont la Commission électorale indépendante a géré l’enregistrement du parti uMkhonto weSizwe, dirigé par l’ancien président Jacob Zuma. Cependant, le tribunal a statué que l’objection de l’ANC n’était pas fondée, soulignant que le parti aurait dû d’abord adresser ses préoccupations à la Commission électorale avant de saisir la justice.

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L’ancien président Zuma, évincé de ses fonctions en 2018 suite à des accusations de corruption, a quitté l’ANC en décembre pour former le parti uMkhonto weSizwe, également connu sous le nom de parti MK. Sa popularité, notamment dans sa province d’origine du KwaZulu-Natal, en fait un concurrent potentiellement important pour les élections à venir.

Le parti tire son nom de l’ancienne branche militaire de l’ANC, dissoute à la fin de l’apartheid. Mercredi, l’ANC a annoncé son intention d’entamer une nouvelle procédure judiciaire contre le parti de Zuma, contestant son droit à utiliser le nom et la marque de l’organisation.

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Les élections sud-africaines prévues pour le 29 mai s’annoncent comme un affrontement politique crucial. L’ANC, dirigé autrefois par Nelson Mandela, est sous pression pour maintenir sa domination politique face à une opposition grandissante. Le pays fait face à des défis économiques persistants, surtout une croissance stagnante, une pauvreté généralisée parmi la population noire majoritaire et un chômage élevé, dépassant les 32%.

Des sondages récents suggèrent que l’ANC pourrait perdre une partie de son soutien traditionnel et risque de passer sous la barre des 50% des suffrages exprimés pour la première fois depuis les premières élections démocratiques de 1994, marquant ainsi un tournant potentiel dans la politique sud-africaine.

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