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Les services de sécurité du président Bédié en alerte maximale (video)



Alerte maximale. Depuis son arrestation manquée, le président Henri Konan Bédié et ses gardes sont très prudents. Devant le coup de force des forces de défense et de sécurité de l’État ivoirien, ils sont sur le qui-vive.

En réalité, le président Henri Konan Bédié a été placé à la tête du Conseil national de transition. Ce dernier survient au « lendemain » de la présidentielle du 31 octobre dernier. Cette initiative a été prise par l’opposition ivoirienne rassemblée autour de son doyen, M. Bédié qui connait dans les moindres détails les coins et recoins de la gouvernance d’un État comme la Côte d’Ivoire. Il a déjà été président de la République ivoirienne d’abord après la mort du Père de la Nation, Houphouet Boigny puis a fait en partie son prore mandat avant qu’un coup d’état ne lui soit fait en 1999.

Cette fois, sa maison avait été encerclée mardi par les forces de l’ordre. Une centaine d’hommes ont tiré des gaz lacrymogènes pour disperser les journalistes et les militants et empêcher la tenue d’une conférence de presse de l’opposition d’après France 24.

La conférence de presse devrait permettre de former « un gouvernement de transition » ». Des journalistes se trouvant dans la maison du président Henri Konan Bédié ont rapporté que les hommes de sécurité étaient prêts à toute éventualité. En réalité, des forces de sécurité ont tiré des gaz lacrymogènes pour disperser partisans et hommes de médias.

Les hommes chargés de la sécurité de l’ancien chef d’Etat M. Bédié ont sorti des Kalachnikov pour se préparer à le défendre selon l’AFP. Une seule chose est sûre : la tension est vive. Au même moment, des poursuites judiciaires pèsent sur les opposants ivoiriens.

Alassane Ouattara, 78 ans, a été proclamé président par la Commission électorale indépendante pour un troisième mandat controversé, sur le score de 94,27%. Ce résultat est balayé du revers de la main par l’opposition qui a aussi boycotté les élections.

Petit rappel, une quarantaine de personnes ont été tuées depuis le mois d’août. Pour l’heure, les représentations diplomatiques et les organisations internationales appellent chaque partie au calme et au dialogue pour ne plus renouer avec une crise aux conséquences dramatiques.

 

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