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Coup d’État au Gabon : La famille Bongo sollicite l’aide de l’ONU



Depuis le coup d’État d’août 2023, la famille Bongo, anciennement au pouvoir au Gabon, fait face à des mesures de détention jugées arbitraires. Dans une plainte transmise à l’AFP ce jeudi, l‘ex-président Ali Bongo, sa femme Sylvia et trois de leurs enfants demandent à un groupe de travail de l’ONU de reconnaître leur situation comme étant « détention arbitraire ».

Selon les avocats de la famille, Ali Bongo et deux de ses fils, Jalil et Bilal, sont placés en résidence surveillée depuis le coup d’État, sans aucune poursuite officielle des autorités gabonaises. De plus, ils sont privés de tout moyen de communication, dans ce qui est qualifié de « séquestration en dehors de tout cadre légal ».

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La situation est encore plus préoccupante pour Sylvia Bongo et son fils aîné Noureddin, tous deux de nationalité française. Incarcérés depuis le 12 octobre, ils sont victimes de tortures physiques et psychologiques, selon les avocats, qui dénoncent également des violations des normes internationales relatives au droit à un procès équitable.

« Elle fut victime de tortures tant physiques que psychologiques. Elle assista, impuissante, à des sessions de tortures et actes de barbaries à l’encontre de son fils Noureddin. Elle fut elle-même victime de coups, de strangulations et de jets violents d’eau froide » et fut « forcée de signer des actes de cession de ses biens et actifs », affirment encore les conseils.

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La détention de la famille Bongo est entachée de controverses, avec des allégations de discrimination basée sur des considérations politiques et sociales. Les avocats prétendent que Sylvia Bongo a été forcée de signer des actes de cession de ses biens et actifs, tandis que Noureddin Bongo est la cible de représailles de la part des nouvelles autorités de Libreville.

Cette affaire soulève des questions sur le respect des droits de l’homme et de l’État de droit au Gabon, et met en lumière les tensions politiques persistantes dans le pays depuis le coup d’État de l’année dernière.

 

 

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