En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Élection présidentielle avancée en Algérie : Quels enjeux pour l’avenir politique du pays ?



Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a surpris tout le monde en avançant la date de l’élection présidentielle au 7 septembre, trois mois plus tôt que prévu. Cette décision, annoncée lors d’une réunion présidée par Tebboune lui-même en présence de divers responsables politiques et militaires, a semé la confusion à Alger et suscité de nombreuses interrogations parmi les observateurs.

La vie politique en Algérie étant fortement contrôlée et les médias limités dans leur couverture, c’est surtout sur les réseaux sociaux que l’étonnement s’est exprimé. Le manque d’explication officielle quant à cette décision a renforcé le mystère autour de cette annonce, alimentant ainsi les spéculations.

Lire aussi : Une attaque terroriste secoue Moscou : Plus de 60 morts et 146 blessés (vidéos)

Il est important de noter que l’avance de l’élection présidentielle n’est pas contraire à la Constitution algérienne, qui autorise le président à organiser des élections anticipées. Cependant, cette décision soulève des questions politiques importantes, notamment concernant la candidature de Tebboune lui-même.

Whatsapp Image 2024 03 23 At 03.02.50

À 78 ans, Tebboune est déjà en campagne depuis un certain temps, et sa candidature semble être largement soutenue au sein du régime. Aucune autre figure politique n’émerge comme une alternative sérieuse, et l’opposition peine à trouver un candidat crédible.

Certains observateurs estiment que l’objectif de cette manœuvre est de prendre de court les éventuels candidats en limitant le temps dont ils disposent pour organiser leur campagne électorale. De plus, la période estivale, marquée par de fortes chaleurs, pourrait dissuader les candidats de se lancer dans une campagne intensive.

Enfin, une analyse prudente suggère que cette décision pourrait également être liée à une éventuelle visite du président Tebboune en France, prévue pour fin septembre ou début octobre. En avançant l’élection, Tebboune éviterait d’être en fin de mandat lors de cette visite officielle, réduisant ainsi les critiques potentielles sur ses motivations.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !