En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Zimbabwe : adoption de médicaments préventifs contre le VIH



Le Zimbabwe a approuvé l’utilisataion du cabotégravir injectable à action prolongée (CAB-LA) comme prophylaxie pré-exposition (PrEP) pour la prévention du VIH, la première en Afrique.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « CAB-LA peut être proposé aux personnes présentant un risque substantiel de contracter le VIH dans le cadre d’approches globales de prévention du VIH ».

Dans la plupart des pays africains, cela inclut les professionnel(le)s du sexe et les communautés LGBTQIA+, écartées de l’accès aux soins de santé en raison des lois et de la ségrégation sociale.

En juin de cette année, l’OMS a conseillé aux pays de prendre cette initiative après avoir observé une augmentation des nouvelles infections à VIH dans le monde.

« Les efforts de prévention du VIH sont au point mort, avec 1,5 million de nouvelles infections à VIH en 2021 – le même qu’en 2020. Il y a eu 4 000 nouvelles infections chaque jour en 2021, avec des populations clés (travailleurs du sexe, hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, personnes qui s’injectent toxicomanes, les personnes en prison et les personnes transgenres) et leurs partenaires sexuels représentent 70 % des infections à VIH dans le monde », a déclaré l’OMS à l’époque.

Les recherches menées ont révélé que les injections de CAB-LA tous les deux mois étaient sûres, bien tolérées et très efficaces pour réduire le risque de contracter le VIH.

Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) est l’une des organisations impliquées dans la lutte contre le VIH/sida au Zimbabwe.

Selon leurs statistiques, la prévalence du VIH est passée de 26,5 % en 1997 à 14,3 % à ce jour, ce qui représente le cinquième taux de prévalence du VIH le plus élevé au monde.

On craint qu’avec le Zimbabwe faisant pression pour un objectif du secteur minier de 204 milliards de rands (12 milliards de dollars), ce qui entraînera une accélération des activités minières si la santé est ignorée, le taux de prévalence du VIH dans le pays pourrait augmenter.

 

Lire aussi : Les dernières nouvelles de Cynthia Fiangan

 

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !