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Sénégal : Un éléphant en liberté après plusieurs années, une première



Il est très difficile de voir un éléphant au Sénégal qui soit libre. Cependant, un éléphant est observé en liberté au Sénégal pour la première fois depuis des années. En effet, un pachyderme, mâle et âgé de 35 voire 45 ans, a été conduit dans l’un des parcs national du Sénégal. De façon plus précise, le pachyderme était dans le parc de Niokola Koba, dans le sud-est du pays. Ainsi, l’on a pu voir de près cet éléphant en liberté en janvier dernier dans ledit parc pour une toute première fois depuis des années déjà.

D’après certains dirigeants, c’est peut-être un bon signe qui s’annonce à travers la liberté de l’éléphant. Pour d’autres encore, c’est un signe de paix qui s’annonce pour leur pays de l’Afrique de l’Ouest. Monsieur Philipp Henschel, directeur de l’ONG américaine Panthera va jusqu’à insinuer qu’ils ont certes l’habitude de voir des buffles mais jamais d’éléphants depuis plusieurs années. Philipp Henschel, parmi les nombreux visiteurs du parc national situé à plus de 6h00 km au sud-est de Dakar a lancé tout d’un coup  » oh, un éléphant !  » pour, c’était une joie de voir l’éléphant. Jacques Gomis de son côté déclare que ça fait au moins trois voire quatre ans qu’on pouvait voir et s’approcher d’un éléphant sans crainte.

Certains racontent que la liberté qui était accordée à l’éléphant était tellement grande puisqu’on l’avait également perçu dans une zone vallonnée et difficile d’accès et très proche du mont Assirik sur le bord de la route pendant deux ou trois minutes avant qu’il s’en aille. En effet, le mont Assirik était le tout derniers endroits où les éléphants du Sénégal ont trouvé refuge. Puisqu’après une centaine d’années que leur population a été décimée sous les effets du braconnage, d’une sécheresse accrue et de l’exploitation forestière et agricole aux abords de la réserve, les éléphants s’étaient donc retirés.

Il faut dire que l’Etat a pris des mesures ces derniers temps afin de renforcer la lutte contre le braconnage et l’exploitation forestière illégale. Ainsi, il y a trois brigades mobiles et des postes fixes qui sont chargés d’assurer la sécurité des animaux 24 heures sur 24, avec le soutien financier d’ONG et de mécènes privés.

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