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L’opposition sénégalaise dit « NON » à Macky Sall



Après deux jours de pourparlers à Dakar, un panel composé de dirigeants politiques, religieux et de la société civile a proposé la date du 2 juin pour la tenue des élections présidentielles au Sénégal. Cette initiative vise à résoudre les tensions suscitées par la décision du président Macky Sall de reporter le vote initialement prévu pour le 25 février. La proposition a été émise lors du Dialogue national sénégalais, mais plusieurs membres de l’opposition ont rejeté cette date, affirmant qu’elle violerait la constitution.

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L’ancien ministre et candidat à la présidentielle, Thierno Alassane Sall, a déclaré que la décision de tenir les élections après le 2 avril serait contraire à la constitution, soulignant que même en cas de consensus au sein du dialogue, la loi ne pouvait être outrepassée. De même, l’ancienne Première ministre Aminata Touré, membre de l’opposition, a exprimé des préoccupations quant à une possible crise institutionnelle si les élections étaient organisées après le 2 juin.

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La commission de dialogue a également suggéré de prolonger le mandat de Macky Sall jusqu’à la nomination d’un successeur, ce qui a suscité des inquiétudes quant à une éventuelle crise institutionnelle. Certains membres du dialogue ont indiqué que début juin serait le meilleur moment pour organiser les élections en raison de plusieurs fêtes religieuses en mai.

La décision initiale de Macky Sall de reporter les élections avait déclenché des manifestations au Sénégal, qui ont été dispersées par les forces de l’ordre. Plus tard, le Conseil constitutionnel a annulé le décret présidentiel, rouvrant le débat sur la date des élections. Le président a appelé à un consensus sur la nouvelle date, menaçant de demander au Conseil constitutionnel de lui trouver un « remplaçant » si aucun accord n’était trouvé avant l’expiration de son mandat le 2 avril.

 

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