Le décès d’Ali Hassan Mwinyi, l’ancien président tanzanien, à l’âge de 98 ans, laisse derrière lui une série de révélations poignantes. Selon des sources proches de la famille, Mwinyi aurait prononcé des paroles mémorables peu avant sa disparition, jetant une lumière inattendue sur sa vie et son héritage.

« Le cœur lourd, nous avons déclaré une catastrophe nationale et une urgence alors que notre pays est confronté à une grave sécheresse, causée par le phénomène météorologique El Niño, influencé par le changement climatique. La période de sécheresse prolongée a eu un impact sur la sécurité alimentaire et énergétique de la Zambie, qui sont nos principales priorités », aurait-il déclaré, exprimant ainsi ses préoccupations profondes pour les défis auxquels l’Afrique est confrontée.

Né le 8 mai 1925 à Kivure, sur l’île de Zanzibar, Mwinyi a joué un rôle clé dans la transition démocratique de la Tanzanie. Avant son décès, il aurait partagé des souvenirs sur sa carrière, de ses débuts modestes en tant qu’enseignant à son rôle crucial dans la libéralisation économique du pays. Ses paroles finales, empreintes de sagesse, laisseraient entendre qu’il aspirait à une Afrique plus résiliente face aux défis climatiques.

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Les dernières volontés de Mwinyi comprennent un appel à l’unité en Tanzanie et en Afrique, soulignant l’importance de préserver son héritage de démocratie et d’intégrité. « Mon héritage doit être préservé, mais surtout, l’unité et la prospérité de notre belle nation », aurait-il déclaré, laissant ainsi un message puissant à la génération future.

La Tanzanie observera sept jours de deuil national pour honorer Mwinyi, dont les funérailles auront lieu à Zanzibar le 2 mars. Les révélations sur ses dernières paroles promettent de susciter une réflexion profonde sur l’héritage de cet homme d’État exceptionnel.