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« Dark Valentine » : La Saint-Valentin autrement au Kenya !



 

Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, a pris une tournure différente au Kenya, alors que des centaines de femmes ont participé à une veillée appelée « Dark Valentine » pour dénoncer les meurtres de femmes dans le pays. Depuis le début de l’année, au moins 16 cas de féminicides ont été signalés, suscitant l’inquiétude quant à la violence contre les femmes et l’omerta présumée des autorités.

« Nous n’approuvons pas du tout le féminicide. Nous perdons tellement de femmes, tellement de filles. Aujourd’hui, la plupart d’entre nous ont donc élaboré des plans pour venir ici avec d’autres femmes, d’autres dames, d’autres leaders féministes pour s’assurer que nous mettions fin à ce phénomène. Nous demandons des comptes au gouvernement parce que nous avons besoin de réduire les cas de féminicide, car ce sont nos sœurs, nos mères, nos épouses », explique Merlin Kawira, étudiante à l’université de Nairobi et fondatrice d’un groupe de soutien à la santé mentale sur le campus appelé Africa Arts and Mental Talks.

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Les participantes ont utilisé cette occasion pour briser le silence entourant les violences faites aux femmes et pour exiger des comptes du gouvernement. L’événement a attiré des femmes de divers horizons, y compris des étudiantes, des militantes des droits de l’homme et des membres de la société civile.

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Merlin Kawira, étudiante à l’université de Nairobi et fondatrice d’un groupe de soutien à la santé mentale sur le campus, a souligné l’urgence de lutter contre le féminicide. « Nous perdons tellement de femmes, tellement de filles. Nous demandons des comptes au gouvernement parce que nous avons besoin de réduire les cas de féminicide, car ce sont nos sœurs, nos mères, nos épouses », a-t-elle déclaré.

La veillée « Dark Valentine » vise à sensibiliser sur la nécessité de mettre fin aux violences contre les femmes et à faire pression sur les autorités pour qu’elles prennent des mesures concrètes. L’année dernière, le Kenya a enregistré au moins 152 cas de féminicides, mettant en évidence un problème persistant de violence à l’égard des femmes dans le pays.

 

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