En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Attaques xénophobes : plus de 180 étrangers arrêtés par la police sud-africaine



Plus de 180 étrangers ont été arrêtés pour avoir pris d’assaut l’agence des Nations Unies pour les réfugiés à Pretoria, où ils avaient organisé un sit-in de protestation, a déclaré la police samedi.

Des centaines de demandeurs d’asile ont commencé à camper devant le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) le 8 octobre, exigeant leur rapatriement après une vague de violences xénophobes en septembre.

Daily Trust rapporte que des manifestants sont entrés par effraction dans les locaux du HCR jeudi après avoir été informés d’une décision de justice leur donnant trois jours pour quitter les lieux.

« Cent quatre-vingt-deux hommes et une femme ont été placés en garde à vue par la police dans différents commissariats », a déclaré Mathapelo Peters, porte-parole de la police provinciale, dans un communiqué samedi. Ils sont en détention pour violation de propriété et devraient comparaître devant le tribunal de première instance de Pretoria lundi.

Selon le communiqué, la police a utilisé des canons à eau pour disperser les manifestants, qui ont riposté avec des pierres et d’autres objets.

Entre-temps, la Commission sud-africaine des droits de l’homme a déclaré qu’elle ne porterait pas plainte contre les étrangers qui ont attaqué un archevêque et plusieurs autres dans une église du Cap vendredi dernier. Les étrangers – dont beaucoup prétendent également être des demandeurs d’asile – s’étaient réfugiés à l’église après avoir été dispersé d’un sit-in similaire dans un bâtiment abritant le HCR à Cape Town. Ils sont devenus violents après qu’on leur ait dit de partir.

« J’ai demandé à la police de ne pas intervenir », a déclaré à l’AFP Chris Nissen, commissaire de la Commission sud-africaine des droits de l’homme. « Nous voulons laisser la porte ouverte aux négociations et au dialogue », a-t-il ajouté.

Crédit photo : sunnewsonline

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !