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Guinée-Bissau : Cipriano Cassama, président par intérim renonce à son poste



En Guinée-Bissau, pays en pleine crise post-électorale, le président de l’Assemblée nationale, Cipriano Cassama, investi président par intérim vendredi soir, a annoncé à la mi-journée de ce dimanche 1er mars qu’il renonçait à son poste.

Investi par 52 députés du parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, le PAIGC, Cipriano Cassama n’a pas longtemps tenu à la pression. Le chef du parlement bissau-guinéen désigné président de la république par intérim vendredi a renoncé ce dimanche 1er mars à son nouveau poste.

Dans une déclaration à la presse à son domicile à Bissau, le président de l’Assemblée nationale a renoncé au poste de président par intérim dont-il a hérité de 52 parlementaires de sa formation politique qui disent avoir constaté une vacance de pouvoir. Cipriano Cassama a  expliqué être « menacé ». Il affirme que vendredi soir, des militaires sont venus chercher sa garde personnelle. Il met donc en avant des raisons de sécurité pour lui et sa famille.

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« Compte tenu des menaces de mort sur ma personne et mes gardes de corps, j’ai décidé de renoncer à la charge de président intérimaire pour laquelle j’ai été nommé, pour éviter un bain de sang en Guinée-Bissau  », s’est-il déclaré. Il dit aussi vouloir éviter une « confrontation, dans l’intérêt de la nation et de la population » et dénonce l’occupation de l’Assemblée nationale populaire par les forces armées.

Cipriano Cassama a été investi, vendredi soir, à l’Assemblée, par 52 députés, essentiellement du PAIGC. Au sein du parti historique, cette démission n’est pas partagée. « Nous n’acceptons pas cette démission de Cipriano Cassama. C’est comme s’il a renoncé à son pays. Pour nous, le combat continue », a déclaré Maria Odete, la ministre de l’Administration territoriale et deuxième vice-présidente du PAIGC.

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