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Soudan : un manifestant tué au cours de l’anniversaire du putsch militaire



Un manifestant a été tué mardi au Soudan lors d’un rassemblement contre le pouvoir militaire, un an jour pour jour après le coup d’État. Les protestataires, présents par milliers, maintiennent la pression contre le régime, malgré la répression féroce qui a fait près de 120 morts depuis l’arrivée de l’armée au pouvoir. 

Un manifestant a été tué au soudan, mardi 25 octobre, alors que des milliers de personnes défilaient dans les rues de Khartoum pour dire « non au pouvoir militaire », un an jour pour jour après le putsch qui a plongé le pays dans le chaos.

Les chancelleries occidentales avaient appelé le pouvoir militaire à ne pas tirer sur la foule, dans un contexte de répression sécuritaire accrue qui a fait 119 morts en un an.

Mardi, face à une mobilisation d’une ampleur inédite depuis des mois, aucun tir n’a retenti, mais un manifestant « a été tué, renversé par un véhicule militaire » dans la banlieue de Khartoum, ont indiqué des médecins pro-démocratie.

Toute la journée, malgré une coupure d’internet finalement rétabli en fin de journée, les manifestants ont scandé « les militaires à la caserne », à Khartoum et dans ses banlieues, où en soirée encore de nombreuses routes étaient bloquées.

Car dès l’aube, les deux camps s’étaient activés : les manifestants ont érigé des barricades pour ralentir l’avancée des forces de sécurité et celles-ci ont bloqué ponts et avenues pour empêcher un déferlement de protestataires vers le palais présidentiel où siège le général Abdel Fattah al-Burhane, l’auteur du coup d’État du 25 octobre 2021.

C’est aux abords de ce bâtiment que la police, qui accuse certains manifestants d’être « armés et formés à la violence », a tiré des grenades lacrymogènes pour tenter de disperser la foule.

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