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Un ex-ministre a battu sa femme pendant 8 heures dans un restaurant (vidéo)



L’opinion publique kazakhe a été choquée par les détails sordides révélés lors du procès de l’ancien ministre de l’Économie, Kuandik Bishimbaev, accusé du meurtre de sa femme en novembre de l’année dernière. Des images choquantes diffusées dans la salle d’audience ont montré Bishimbaev frappant sa femme à l’intérieur du restaurant, où elle a perdu la vie. Saltanat Nukenova, âgée de 31 ans, aurait été battue pendant huit heures par son mari, subissant des traumatismes crâniens graves, dont une fracture du nez et de multiples contusions.

Bishimbaev, âgé de 43 ans, est accusé de torture et de meurtre avec une extrême violence, et risque jusqu’à 20 ans de prison. Il a tenté de se défendre en affirmant qu’il était très jaloux et que sa femme était mentalement instable. Il prétend également que la mort de sa femme a été causée par sa chute sur les toilettes et le carrelage, et non par ses agressions.

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Pendant le procès, Bishimbaev a affirmé que lui et sa femme avaient consommé de l’alcool, et qu’ils étaient tous les deux ivres au moment des faits. Malgré les blessures graves de sa femme, il n’a pas appelé d’ambulance et l’a laissée dormir au restaurant, où elle a été retrouvée morte le lendemain matin.

Kuandyk Bishimbaev

Les images des caméras de surveillance, initialement supprimées par Bishimbaev, ont été restaurées par les autorités et ont été présentées comme preuve lors du procès. Ces images montrent la brutalité de l’agression, qui aurait duré près de huit heures.

Ce procès a attiré l’attention de nombreux Kazakhs, qui craignent que Bishimbaev, membre de l’élite dirigeante du pays, puisse échapper à la justice, comme il l’a fait lors d’une condamnation antérieure pour corruption. De plus, la violence domestique et la violence contre les femmes sont des problèmes préoccupants au Kazakhstan, notamment depuis la dépénalisation de la violence domestique en 2017, une décision critiquée pour son impact sur les femmes issues de familles à faible revenu.

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