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Soudan : Deux ans de « résidence surveillée » pour l’ancien président , Omar el-Béchir



Omar el-Béchir , après des démêlés avec la justice s’en sort avec deux ans de résidence surveillée. Ce n’est que le début si on voit bien de près la situation. L’ancien président soudanais Omar el-Béchir a été condamné, samedi 14 décembre, par un tribunal de Khartoum, à deux ans en « résidence surveillée » pour corruption.

Âgé de 75 ans, destitué le 11 avril après 30 ans passés au pouvoir, il était jugé par un « tribunal spécial » depuis le mois d’août pour possession illégale de fonds perçus de l’Arabie saoudite. Ses années passées au pouvoir n’ont pas empêché l’armée de le destituer. Il ra répondu dans un premier temps dans cette affaire de corruption.

En attendant, une autre affaire, un peu plus grave l’accablera d’ici peu.  La justice va se prononcer sur une autre affaire le concernant : des meurtres commis lors des manifestations ayant conduit à sa chute, a annoncé samedi le juge Al-Sadeq Abdelrahmane.

Outre une condamnation à deux ans de détention pour corruption, le juge a également prononcé la confiscation des fonds retrouvés au domicile de l’ex-chef d’État après son arrestation en avril (6,9 millions d’euros, 351 770 dollars et 5,7 millions de livres soudanaises).

« Si l’ex-dirigeant a reconnu avoir perçu un total de 90 millions de dollars (81 millions d’euros) de la part de hauts responsables saoudiens, le procès ne concernait que 25 millions de dollars (22,5 millions d’euros) reçus peu avant sa chute du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane », estime France 24.

La CPI aussi avait plaidé son extradition mais les militaires au pouvoir avaient alors indiqué qu’ils ne comptaient pas le transférer à la Cour.

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