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Scandale: Des femmes africaines vendues comme des esclaves sur les réseaux sociaux



Malgré que les témoignages sur le traitement inhumain que subissent les femmes africaines et d’autres pays pauvres d’asie dans les pays du golfe persique(Koweït, Qatar,…) la tendance ne fablit pas.
Elles sont nombreuses à se laisser encore bercer par les fausses promesses des passeurs qui ne pensent eux qu’à faire du profit.
Après la mise en lumière du cas de la Lybie qui est devenu un marché d’esclaves, c’est un autre scandale du genre qui fait l’actualité.

Déjà victimes de maltraitance, elles sont vendues comme des objets aux plus offrants. Loin de s’en soucier, ces transactions sont faites au vu et au su de tout le monde à travers des applications de vente d’objets comme 4Sale ou Haraj, toutes approuvées par Playstore et AppStore.

Initialement destinées à la vente d’objets courants elles sont détournées pour la vente de femmes de ménage avec des photos à l’appui. Le hashtag couramment utilisé sur ces applis sont « maid for sale » (femme de ménage à vendre) qui touchent aussi les réseaux sociaux comme Facebook et Instagram.

Le média britannique BBC qui a révélé le scandale révèle que les femmes sont classées par catégories et par ethnies avec un prix initial d’environ 4 000 euros la plupart du temps.
Les journalistes du média sont allés encore plus loin pour démontrer que cette pratique très répandue n’était pas un mythe.

Ils ont ainsi réussi à discuter avec 57 potentiels vendeurs de femmes via 4Sale et en ont rencontré 11 en se faisant passer pour un couple d’acheteurs potentiels.

Cette pratique pourtant scandaleuse doit son origine à la législation de ces pays qui minimisent les droits des travailleurs étrangers avec un système de parrainage vicieux dénommé « Kalafa ».
Même si Facebook, Instagram, et les stores essaient d’endiguer le phénomène à leur manière, la législation elle a la peau dure et risque de faire un grand nombre de victimes avant sa modification.

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