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Des partisans de l’ex-président Bazoum continuent à manifester contre la junte, malgré les interdictions

Au Niger, des partisans de l’ancien président Mohamed Bazoum ont bravé les interdictions pour manifester contre la junte qui a pris le pouvoir suite au coup d’État du mois dernier. Malgré les restrictions imposées par les nouvelles autorités, les manifestants ont exprimé leur mécontentement et leur soutien à Bazoum.

Depuis le renversement du gouvernement légitime, la junte a imposé des mesures strictes pour limiter les rassemblements et les manifestations. Cependant, certains partisans de Bazoum ont décidé de braver ces interdictions afin de faire entendre leur voix et exprimer leur refus du coup d’État.

Les manifestants ont brandi des pancartes et scandé des slogans en faveur de Bazoum, qui avait remporté les élections présidentielles de façon démocratique. Ils ont critiqué la junte et son manque de légitimité pour gouverner le pays.

Malgré la présence des forces de sécurité, les manifestants ont rejoint les rues de la capitale pour manifester pacifiquement. Ils exigeaient le retour à l’ordre constitutionnel et la libération des responsables politiques arrêtés après le coup d’État.

La junte a réagi en utilisant la force pour disperser les manifestants. Des affrontements ont éclaté entre les forces de sécurité et les partisans de Bazoum, causant des blessés parmi les manifestants. Des arrestations ont également eu lieu, dans le but de décourager d’autres manifestations et de maintenir le contrôle de la junte sur le pays.

La situation au Niger reste tendue depuis le coup d’État. Les partisans de Bazoum et d’autres acteurs politiques continuent de s’opposer à la junte, malgré les mesures répressives mises en place. La communauté internationale a également exprimé sa préoccupation face à cette montée de la répression et a appelé au respect des droits de l’homme et à un retour à l’ordre démocratique.

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