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Monkeypox ou Variole du singe : un pays d’Afrique de l’ouest enregistre un premier décès



Une personne est décédée de la variole du singe au Nigeria, a déclaré le Nigeria Center for Disease Control (NCDC).

Au 28 mai 2022, neuf États et le Territoire de la capitale fédérale (FCT) avaient signalé un total de 21 cas confirmés, a indiqué le NCDC dans un communiqué.

Les États signalant des cas sont Adamawa (5), Lagos (4), Bayelsa (2), Delta (2), Cross River (2), FCT (2), Kano (2), Imo (1), Rivers (1) ) .

Le NCDC a déclaré dans son communiqué que le décès de la maladie était un patient de 40 ans qui avait des comorbidités sous-jacentes et prenait des médicaments immunosuppresseurs.

Sur les 21 cas signalés jusqu’à présent en 2022, a-t-il ajouté, « il n’y a aucune preuve de transmission nouvelle ou inhabituelle du virus, et aucun changement dans sa présentation clinique (y compris les symptômes, les caractéristiques et la virulence) n’a été enregistré.

Le directeur par intérim de la principale agence de santé publique d’Afrique a déclaré qu’il espérait que les pays riches n’accumuleraient pas de vaccins pendant l’épidémie actuelle de monkeypox, comme ils l’ont fait pour le COVID-19. 19.

Monkeypox est une infection virale bénigne endémique dans 11 pays africains dont le Cameroun, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo et le Nigeria.

Plus de 200 cas suspects et confirmés de virus ont été détectés dans au moins 19 pays, principalement en Europe, depuis début mai.

Au cours du week-end, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré qu’elle s’attendait à détecter davantage de cas de monkeypox alors qu’elle élargissait la surveillance dans les pays où la maladie n’est généralement pas présente.

« Les vaccins doivent être distribués équitablement là où ils sont le plus nécessaires, donc en fonction du risque, et non de qui peut se le permettre », a déclaré Ahmed Ogwell Omar, directeur par intérim du Centre africain de contrôle et de prévention des maladies. Quatre conférences de presse.

« Nous travaillons avec tous les États membres du continent africain pour renforcer la surveillance du monkeypox », a-t-il déclaré.

Monkeypox est une infection virale rare qui ne se transmet pas facilement d’une personne à l’autre. Il s’agit généralement d’une maladie bénigne et spontanément résolutive que la plupart des gens guérissent en quelques semaines. Cependant, certaines personnes peuvent développer une maladie grave.

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