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Mohammed VI va-t-il confier à Moulay Hassan l’annexion de Ceuta et Melilla ?



Les tensions entre le royaume et l’Espagne sont à leur paroxysme. Le Maroc tient aux poursuites judiciaires à l’encontre du chef du Polisario, Brahim Ghali, devant la justice espagnole. « L’hospitalisation de Brahim Ghali a brisé la confiance entre l’Espagne et le Maroc au point que la crise diplomatique entre les deux pays est loin de s’apaiser », commente El Pais, expliquant que le Maroc a défini une nouvelle stratégie après la crise migratoire à Ceuta, évoquant des projets cachés du roi Mohammed VI.

L’hospitalisation du chef du Polisario, Brahim Ghali, est l’une des raisons principales de la montée de la crise entre l’Espagne et le Maroc. Le Sahraoui de 71 ans devrait se présenter devant le juge de l’Audience nationale, Santiago Pedraz, le 1ᵉʳ septembre prochain. « Nous ne voulons pas penser que Rabat conditionne la normalisation des relations à quelque chose qui n’est pas entre les mains du gouvernement », indiquent des sources diplomatiques, rappelant qu’« en Espagne, il y a une séparation des pouvoirs ».

Dans une déclaration à El Pais, la ministre espagnole des Affaires, Arancha Gonzalez Laya, insiste que son pays « n’a jamais cherché cette crise, ni ne l’a alimentée. Ce que nous voulons, c’est la laisser derrière nous le plus rapidement possible ». « Nous sommes respectueux et nous voulons qu’ils soient respectueux avec nous », a-t-elle martelé.

Le gouvernement espagnol aurait confié que « l’Espagne avait l’intention d’informer le Maroc de l’accueil de Ghali, mais ce fait a été retardé parce que l’Espagne se battait alors pour que l’UE n’inclue pas le Maroc dans sa liste grise des paradis fiscaux ».

Par ailleurs, le correspondant du journal espagnol insiste que « le roi Mohammed VI n’a jamais renoncé à l’annexion des deux villes espagnoles (Ceuta et Melilla) de l’Afrique du Nord, mais il considère que cette tâche n’incombe pas à sa génération, mais à celle de son fils » Moulay El Hassan qui, faut-il le rappeler, a atteint la majorité et est prêt à prendre les rênes, après bien entendu le départ de son père. El Pais a auparavant indiqué que « le roi Mohammed VI est déterminé à achever l’œuvre de son père, Hassan II, qui a gagné la guerre au Sahara Occidental et occupé la majeure partie du territoire ».

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