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Maïs, blé , sodja et riz : La BAD vole au secours des populations Africaines par …



La flambée des prix alimentaires était principalement due aux sanctions imposées par la guerre russo-ukrainienne. En réponse à la famine qui menace au loin, la Banque africaine de développement mise sur la production locale.

La dépendance des pays, en particulier des Africains, aux importations russes a affaibli les pays dans une guerre dans laquelle les sanctions russes affectent plus les pays étrangers que la Russie elle-même.

Pour relever le défi, la Banque africaine de développement (BAD) a même annoncé en amont de sa conférence à Accra la semaine du 23 au 27 mai son intention d’injecter 1,5 milliard de dollars dans la production locale en Afrique sur deux ans.

« Si ce déficit n’est pas comblé, la production alimentaire en Afrique chutera d’au moins 20% et le continent pourrait perdre plus de 11 milliards de dollars de production alimentaire », prévient l’agence, dirigée par Akinwumi Adesina, qui affiche une volonté d’inverser la tendance. Ainsi, « la BAD utilisera son influence auprès des grands fabricants d’engrais, des garanties de prêts et d’autres instruments financiers pour fournir des engrais aux petits exploitants africains au cours des quatre prochaines saisons agricoles. La stratégie de 1,5 milliard de dollars de la BAD produira 1 100 10 000 tonnes de blé, 18 millions de tonnes de maïs, 6 millions de tonnes de riz et 2,5 millions de tonnes de soja ».

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