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Ma fille de 5 ans a accidentellement tué ma mère de 70 ans en la poussant en bas des escaliers » : Un drame familial inimaginable



Dans une demeure chaleureuse bordée de baobabs, au centre d’un petit village africain, la joie de vivre et l’entraide étaient les maîtres mots qui rythmaient le quotidien. Au sein de cette communauté, la famille N’diaye était particulièrement respectée, principalement grâce à la sagesse de Mamy Aïssatou, une femme de 70 ans, pilier du village.

Mamy Aïssatou, avec ses contes et ses histoires d’antan, était l’âme du village. Elle adorait partager ces moments avec sa petite-fille, Fatou, une enfant pétillante de 5 ans, avide d’aventures et de découvertes.

Mais un tragique après-midi, le destin frappa durement à leur porte.

Alors que Fatou jouait avec son nouveau tambourin, offert par son père revenant d’un voyage, elle s’élance à travers la cour à la recherche de sa grand-mère pour partager sa joie. Sans le voir venir, elle heurte accidentellement Mamy Aïssatou qui se tenait à l’entrée d’un escalier en pierre, la faisant trébucher dans une chute fatale.

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Les tambourins et chants du village furent soudainement remplacés par un silence lourd et un cri de douleur. Malgré les prières et les incantations des guérisseurs locaux, Mamy Aïssatou quitta ce monde, laissant une famille et un village entier en deuil.

Le cœur brisé, la famille N’diaye dût faire face à deux tragédies: la perte d’une matriarche et la culpabilité d’une enfant innocente. Afin d’aider Fatou à surmonter cette épreuve, la famille fit appel à un sage du village voisin, réputé pour sa capacité à guider les âmes meurtries.

L’histoire de la famille N’diaye nous rappelle combien la vie est fragile, et combien les traditions et la communauté sont essentielles dans les moments d’épreuve en Afrique. En partageant ce récit, ils espèrent sensibiliser chaque foyer à l’importance de la vigilance, surtout avec les plus jeunes, et à la force de la résilience.

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