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Les États-Unis intensifient les sanctions contre l’Ouganda en réponse à la loi anti-homosexualité



 

Plus tôt cette année, l’Ouganda a attiré l’attention internationale après la signature de sa controversée loi anti-homosexualité en 2023. Les États-Unis ont réagi en imposant des restrictions de visa, et cette semaine, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a annoncé une nouvelle série de sanctions, intensifiant la pression sur le gouvernement ougandais.

La loi, signée par le président Yoweri Museveni en mai, a été critiquée par l’Occident comme l’une des lois anti-LGBTQ les plus strictes au monde. En réponse, les États-Unis ont initialement imposé des restrictions de visa aux responsables ougandais, et Blinken a déclaré que de nouvelles sanctions cibleront ceux impliqués dans l’application de cette législation discriminatoire.

Les restrictions de visa toucheront non seulement les responsables en exercice, mais également les anciens responsables, ainsi que leurs familles, s’ils sont impliqués dans la répression de groupes marginalisés ou vulnérables. Antony Blinken a souligné que ces groupes comprennent des militants écologistes, des défenseurs des droits humains, des journalistes, des personnes LGBTQI+ et des organisateurs de la société civile.

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Le secrétaire d’État américain a insisté sur le fait que pour maintenir des relations positives avec les États-Unis, l’Ouganda doit défendre la démocratie et protéger les droits de l’homme. Il a appelé le gouvernement ougandais à déployer des efforts concertés pour respecter ces principes, soulignant que cela est essentiel pour préserver le partenariat entre les deux pays.

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En mai, la nouvelle loi ougandaise avait déjà suscité des critiques de la part de dirigeants occidentaux, dont le président Joe Biden, l’Union européenne et le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Cette législation draconienne prévoit des peines allant jusqu’à 20 ans de prison pour la promotion de l’homosexualité, et dans certains cas, la peine de mort pour l’homosexualité aggravée, bien que l’Ouganda n’ait pas appliqué la peine capitale depuis de nombreuses années.

Le président Museveni, quant à lui, reste ferme face aux pressions occidentales, affirmant que la loi vise à protéger les valeurs culturelles, religieuses et familiales du pays. Il a souligné un large soutien national à cette initiative, exprimant sa détermination à résister aux critiques internationales. L’Ouganda se trouve ainsi au centre d’une controverse mondiale mêlant droits de l’homme, démocratie et liberté individuelle.

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