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France : en 2018 Éric Dupont-Moretti disait qu’il n’accepterait jamais le poste de ministre de la justice



Éric Dupont-Moretti est intronisé ministre de la justice ce lundi 6 juillet 2020 même si quelques mois en arrière il a assuré qu’il ne va « jamais accepter un truc pareil ». En avril 2018 sur LCI, il ne s’était pas imaginé un jour au poste de ministre de la justice. L’avocat a-t-il pu finalement avaler les couleuvres?

 

Au lendemain de sa nomination en tant que Garde des Sceaux et ministre de la Justice, certains propos d’Éric Dupont-Moretti lui sont revenus à la figure. En avril 2018 sur la LCI, Audrey Crespo-Mara lui demandait: « Si on vous proposait le poste de ministre de la Justice, vous accepteriez? » L’avocat a répondu : « Non. Vous voulez que je vous le signe? Personne ne me le proposera. Personne n’aurait l’idée sotte, saugrenue, incongrue, invraisemblable de me proposer cela. Et franchement, je n’accepterais jamais un truc pareil. »

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Il avait même justifié la raison pour laquelle il ne se voyait pas à un tel poste. « Il faut en avaler des couleuvres pour faire de la politique », assurait Éric Dupont-Moretti. « D’abord, il faut être d’accord avec tous les copains du gouvernement auquel on appartient soi-même. Il faut manger son chapeau de temps en temps. C’est une discipline, c’est un exercice, je n’en ai pas les compétences. Je n’aimerais pas faire cela », avait-il ajouté. Mais deux ans plus tard, c’est lui qui succède à Nicole Belloubet. Il a donc fait son entrée en politique à l’âge 59 ans.

 

En effet, certains éléments apportés par Me Antoine Vey justifient la soudaine entrée d’Éric Dupont-Moretti dans la politique. « Je pense qu’il ne voulait pas participer à un casting de marionnettes et il avait des idées fortes et simples pour réformer le système judiciaire qui, objectivement, se porte mal. Je pense qu’ils ont eu un échange avec le Premier ministre et avec le Président de la république et que la feuille de route qu’il a souhaité leur proposer correspondait à leurs attentes. Et que c’est dans ce cadre là qu’il a accepté cette mission », a justifié l’ancien associé du nouveau garde des Sceaux.

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