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Covid-19 : Des paquebots de luxe sur le point d’être démolis



Avec cette  crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19, des paquebots de croisière partent à la casse.

La crise du Covid-19 a porté un coup dur au secteur de la croisière. A en croire nos confrères de 20minutes,  Cinq paquebots de luxe sont en cours de démantèlement dans le chantier naval d’Aliaga, à l’ouest de la Turquie.

« Quand les navires n’ont pas pu trouver d’occupation, les compagnies se sont tournées vers le démantèlement », concède Kamil Onal, président d’une association d’industriels de recyclage de navires.

Depuis l’annonce de cette dangereuse maladie à Covid-19,  une maladie qui fait des ravages dans tous les continents, l’activité économique a été paralysée. L’activité de croisière est stoppée aux Etats-Unis depuis mars dernier et provisoirement rouverte en Europe avec l’application de nouvelles réglementations.

« Cette situation contraste avec les carnets de commandes qui ont été remplis avant la crise. Si bien que certaines compagnies se retrouvent avec de nombreux paquebots à quai et décident d’en mettre à la casse », précise 20minutes  qui cite Slate.

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Comme le révèle Ouest-France, des paquebots vont être démolis. Parmi les 5 se trouvent : Le Sovereign of the Seas (dont la construction a été achevée en 1987) et le Monarch of the Seas (1991) appartenaient à la compagnie espagnole Pullmantur. Capables d’accueillir 2.350 passagers, les deux navires de 268 mètres de long ne seront pas rachetés par une autre compagnie et vont partir à la casse.

Interrogé également par Ouest-France, Paul Tourret, expert de l’Institut Isemar, justifie la démolition de ces paquebots. « Laisser sortir ces navires anciens est une manière d’épurer le système. La croisière achève un cycle entamé il y a trente-cinq ans et se réinvente maintenant avec des navires plus adaptés. Les nouvelles exigences environnementales et de sécurité maritime rendent ces navires obsolètes et on peut comprendre que les armateurs profitent de la crise pour s’en débarrasser ».

Pour démanteler ces imposants navires, il faut environ six mois. 2.500 ouvriers travaillent sur ces chantiers, a-t-on appris.

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