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Congo-Brazzaville : un avion d’Air France criblé de balles



Un Airbus 330 d’Air France destiné à rapatrier les ressortissants français résidant au Congo a été endommagé. L’avion a été criblé de balles sur le tarmac de l’aéroport de Pointe-Noire. Il ne s’agit pas d’une attaque préméditée a rassuré la direction de l’aviation civile et Air France.

L’incident s’est produit samedi soir entre 21h30 et 21h50, heure locale lors d’une d’une altercation. Un agent de la gendarmerie des frontières aurait fait usage de sa kalachnikov et tiré des balles qui ont touché l’aéronef d’Air France en stationnement sur l’asphalt de l’aéroport. « Une balle a raflé l’appareil et une autre l’a traversé et l’a endommagé », a expliqué Olivier Jallet, directeur général d’Air France pour le Congo et la République démocratique du Congo (RDC).

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Cet avion était destiné à rapatrier ce dimanche 12 avril les français qui sont restés bloqués au Congo-Brazzaville à cause de la pandémie de Covid-19. Il devait ramener au bercail 110 ressortissants français et embarquer 110 autres lors d’une escale à Bangui. L’avion d’Air France a donc bénéficié d’une autorisation exceptionnelle en cette période où les frontières sont fermées à cause du Covid-19. Cependant, le voyage a été repoussé à lundi et sera assuré par un avion secours.

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Aucun blessé n’a été enregistré au cours de cet incident. Jean-Claude Gakosso, le chef de la diplomatie dans une correspondance, a exprimé ses regrets au gouvernement français et annoncé l’ouverture d’une enquête afin de « clairement établir les circonstances et les responsabilités ». François Barateau, l’ambassadeur de France s’est donc entretenu dimanche avec trois membres du gouvernement congolais pour élucider cette affaire.

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