En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Afrique : Vous risquez 5 ans de prison dans ce pays si vous insultez le président



En Afrique, dans un pays de droit, critiquer ou offenser le président n’est pas seulement une question de sentiment public, c’est une infraction pénale. Les répercussions juridiques de tels actes sont sévères, pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement.

Le système juridique gabonais impose des sanctions en fonction de la gravité de l’infraction, la peine encourue pour avoir insulté le dirigeant pouvant aller jusqu’à 5 ans derrière les barreaux.

La fonction présidentielle au Gabon est protégée par des lois strictes, qui font de toute insulte ou commentaire discourtois adressé à la plus haute autorité un acte criminel. Les auteurs de tels actes s’exposent à toute la rigueur de la loi.

LIRE AUSSI : Affaire scandaleuse : Koffi Olomide impliqué dans une affaire compromettante

Les frontières juridiques : La fermeté du Gabon sur les insultes au Président

Au Gabon, l’insulte à l’autorité qui dirige le pays est passible d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et d’une lourde amende de 5 millions de francs CFA. Le statut de personnalité publique du chef de l’État n’autorise pas pour autant les individus à tenir des propos désobligeants à son égard. Le président, comme tout autre citoyen, bénéficie d’une protection individuelle sans équivoque en vertu de la loi.

Si la liberté d’expression est un principe fondamental de la démocratie, le Gabon insiste sur la nécessité d’une régulation. Il n’est pas interdit de critiquer les décisions présidentielles, mais cela doit se faire dans le respect de l’autorité du gouvernement, sous peine de sanctions judiciaires.

Un délit punissable

LIRE AUSSI : Abolition de la peine de mort au Ghana : un pas vers une société plus juste

L’article 158 du code pénal gabonais définit explicitement les conséquences de l’outrage au président de la République. Ce délit, commis sous quelque forme et en quelque lieu que ce soit, est passible d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et d’une amende pouvant atteindre 5 000 000 de francs CFA. Même la communication par voie de tracts ou par voie électronique peut entraîner une peine d’emprisonnement de 2 ans pour les complices.

Rappelons que depuis le coup d’État du 30 août qui a renversé le régime d’Ali Bongo, le général Brice Clotaire Oligui Nguema a pris les rênes du pays.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !