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Pour avoir défendu Soro, Adjoumani tire sur Amnesty International



Le ministre Kobenan Adjoumani a fustigé la sortie d’Amnesty International, relative aux procédures judiciaires engagées contre Guillaume Soro, candidat déclaré au prochain scrutin présidentiel en Côte d’Ivoire, ainsi que certains de ses proches.

Kobenan Adjoumani désavoue Amnesty International

La sortie de François Putuel du bureau international d’Amnesty international à Dakar, est apparue comme un sérieux désaveu pour le régime d’Abidjan.

Depuis le lundi 23 décembre 2019, l’ancien chef du Parlement Guillaume Soro, et plusieurs de ses proches dont des députés font l’objet d’une véritable traque judiciaire de la part des autorités ivoiriennes.

Il est reproché au candidat de GPS au prochain scrutin présidentiel ivoirien, une tentative de déstabilisation de la Côte d’Ivoire.

Face à cette situation qui a contribué à cristalliser l’atmosphère socio-politique ivoirienne, Amnesty International, Organisation militant pour le respect des droits de l’homme, a trouvé suspecte, la période choisie pour enclencher des poursuites judiciaires contre certains des opposants.

«Le moment choisi pour lancer une procédure judiciaire contre Guillaume Soro et les arrestations de ses sympathisants et proches sont suspects », a ouvertement déclaré François Pituel.

Pour ce responsable à Amnesty International, il ne serait pas surprenant que ces poursuites soient motivées par « des considérations politiques » du fait des irrégularités des procédures.

« Je trouve indécent qu’une organisation comme Amnesty International parle d’arrestations suspectes », a rétorqué le ministre Kobenan Adjoumani.

Le porte-parole du RHDP n’a pas manqué d’inviter l’ONG internationale à avoir un peu plus d’égards pour la Côte d’Ivoire.

« Un pays qui se respecte ne peut en aucun cas plaisanter avec de telles menaces », a-t-il argué, faisant allusion aux accusations portées contre Guillaume Soro et certains de ses lieutenants.

Pour rappel, 17 proches du président du mouvement Générations et Peuples Solidaires, candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2020, ont été placés en détention après une vague d’arrestations depuis le lundi 23 décembre 2019. Guillaume Soro, quant à lui, fait l’objet d’un mandat d’arrêt international.

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