« J’ai eu du mal à prier… », le Pape François fait des révélations sur sa première petite amie

Dans son autobiographie à paraître, intitulée « Vivre : mon histoire à travers la grande Histoire« , le pape François se penche sur les complexités de son parcours, de sa romance de jeunesse à son rôle à la tête de l’Église catholique. Le jésuite de 87 ans, dont la sortie est prévue le 19 mars par HarperCollins dans plusieurs langues et régions, offre aux lecteurs une réflexion franche sur les aspects politiques et personnels de sa vie, à travers des conversations avec un journaliste italien.

L’un des points forts de cette autobiographie de 350 pages est la franchise des révélations du pape sur ses expériences personnelles, y compris ses premières rencontres amoureuses. Le premier pape sud-américain partage des anecdotes sur son adolescence, se souvenant de sa première « petite amie ». En outre, il s’ouvre sur un moment de son séminaire où il a été captivé par le charme et l’intelligence d’une jeune fille, admettant avoir été momentanément distrait de sa vocation.

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Le pape François s’ouvre : de l’amour au leadership

« Pendant une semaine, j’ai eu son image en tête et j’ai eu du mal à prier ! Heureusement, cela a passé et je me suis consacré corps et âme à ma vocation », confesse-t-il.Cependant, il réaffirme rapidement son engagement envers sa vocation, soulignant son dévouement à son chemin spirituel.

Malgré les inquiétudes concernant sa santé, le pape rassure les lecteurs quant à sa détermination à poursuivre ses fonctions papales. Il évoque ses récents problèmes de santé, notamment une opération de l’abdomen en 2023 et des bronchites récurrentes, tout en maintenant son emploi du temps actif à Rome et en prévoyant un voyage important en Asie plus tard dans l’année.

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En réponse aux critiques, en particulier celles émanant des milieux conservateurs, le souverain Pontife conserve une attitude légère, balayant les attaques contre son leadership et ses efforts de réforme au sein de l’Église. Il reconnaît les accusations de « destruction de la papauté », mais reste déterminé à moderniser et à revitaliser l’institution. Bien qu’il soit confronté à des défis permanents, notamment à la résistance de certaines factions au sein du Vatican, le pape François reste déterminé à poursuivre sa vision d’une Église plus inclusive et plus compatissante.