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Demande de libération du président déchu Mohamed Bazoum par ses avocats à la CEDEAO



 

Les avocats du président nigérien Mohamed Bazoum, déchu suite à un coup d’État en juillet dernier, ont appelé la CEDEAO à exiger sa libération conformément à une décision de justice rendue le 15 décembre. La Cour de Justice de la CEDEAO avait alors ordonné la remise en liberté du président Bazoum ainsi que son retour au pouvoir.

Selon Mohamed Seydou Diagne, coordinateur du collectif d’avocats, la responsabilité de la CEDEAO et de ses États membres est de garantir l’application effective des décisions de justice, assurant ainsi la libération du président Bazoum et de son épouse. Le collectif rappelle que la Cour avait ordonné aux autorités militaires de libérer immédiatement le président Bazoum et de restituer son pouvoir, confié démocratiquement.

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Les avocats soulignent que Mohamed Bazoum n’a jamais été présenté à un magistrat depuis le 19 octobre 2023 et ne reçoit aucune visite, excepté celle de son médecin. Le fils de Bazoum, Salem, libéré en janvier, demeure au Togo, accusé de complot contre l’autorité de l’État.

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Le chef du régime militaire nigérien, Abdourahamane Tiani, a déclaré récemment que la libération de Bazoum n’était « pas à l’ordre du jour ». Un sommet extraordinaire de la CEDEAO est prévu samedi à Abuja pour examiner la situation politique et sécuritaire dans la région.

Le Niger, sous régime militaire et lourdement sanctionné par la CEDEAO, a récemment annoncé son retrait de l’organisation ouest-africaine. Les avocats rappellent que, conformément à l’article 91 du Traité révisé de la CEDEAO, le Niger est tenu de continuer à s’acquitter de ses obligations pendant une période d’un an.

Cette demande intervient à la veille du sommet de la CEDEAO où la situation politique et sécuritaire de la région sera discutée, mettant en lumière les tensions entre les régimes militaires et la CEDEAO, régulièrement dénoncées par ces régimes comme une prétendue instrumentalisation par la France.

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