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Les parlementaires ghanéens échangent de violents coups de poings lors d’un vote au parlement (Vidéo)



Lundi 20 décembre, une bagarre a éclaté au parlement ghanéen plus tard dans la journée. Les membres du Congrès ont débattu d’un projet de taxe sur les transactions électroniques qui a divisé la Chambre pendant plusieurs semaines.

Le Parlement ghanéen est au milieu d’une tragédie : le lundi 20 décembre, une querelle a éclaté entre les législateurs alors que le gouvernement tentait d’adopter une taxe impopulaire sur les téléphones portables. Après que le président Joe Osse-Owusu a tenté de quitter son siège pour voter pour la taxe de transfert « monnaie mobile », les législateurs au pouvoir du NPP (parti au pouvoir) et du NDC (opposition) se sont affrontés.

Les députés de l’opposition essaient d’empêcher le président de la Chambre des représentants de voter parce qu’ils disent que selon les règles du Parlement, le président doit rester neutre et ne pas exprimer une voix prépondérante. Alors que la Chambre des représentants commence à voter sur l’opportunité d’adopter le projet de loi d’urgence sur le prélèvement automatique, les membres des minorités poussent le président de la Chambre des représentants Joe Osse-Owusu à quitter son siège pour voter. Dans la vidéo virale, des membres du Congrès sont montés sur le podium pour empêcher le président de la Chambre des représentants de voter.

 

Finalement, ce vote d’urgence a été reporté au 18 janvier. De nombreux Ghanéens refusent d’accepter cette nouvelle taxe car ils pensent que cela causera plus de difficultés aux citoyens déjà en souffrance. La position prise par la minorité au Parlement opposée à la taxe proposée pour annuler le budget 2022.

 

Video

 

Les remises en « monnaie mobile » taxées à partir du 1er février

Au Ghana, la joie d’annoncer l’annulation des péages a été de courte durée. Afin de compenser cette perte utilisée pour l’entretien des infrastructures routières, le gouvernement a annoncé une taxe sur les envois de fonds.

La taxe proposée entrera en vigueur le 1er février 2022, ce qui équivaut à une taxe de 1,75 % de la valeur des transactions électroniques. Il couvre les paiements d’argent mobile, les virements bancaires, les paiements marchands et les envois de fonds entrants. L’initiateur de la transaction en supportera le coût, mais le transfert des fonds sur le compte sera à la charge du destinataire. Les transactions jusqu’à 100 GH (10 000 francs CFA) par jour sont exonérées.

La motivation de cette mesure est l’augmentation des transactions en devises mobiles pendant la pandémie de Covid-19 en 2020. Selon le ministre des Finances, le montant total des transactions numériques en 2020 est estimé à plus de 500 milliards de GH ¢ (environ 47 milliards de FCFA), contre 78 milliards de GH ¢ (7,2 milliards de FCFA) en 2016. Il a connu une croissance phénoménale en seulement cinq ans.

Bien que cette taxe affecte également les Ghanéens qui n’utilisent pas les routes à péage, Boahen, ministre d’État au ministère des Finances, a déclaré que le gouvernement essaie de partager la charge fiscale pour développer les infrastructures routières. Les péages entrent dans le fonds routier et devraient être utilisés pour l’entretien des routes publiques.

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