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Le mur “raciste” et “homophobe” de Donald Trump ne résiste pas aux grands vents



Des panneaux qui avaient été récemment installés sur le mur frontalier américain sont tombés mercredi en raison des forts vents, atterrissant sur des arbres du côté mexicain de la frontière.

La zone fait partie d’un projet de construction en cours visant à améliorer les sections existantes du mur.

L’agent Carlos Pitones, qui travaille pour le secteur des douanes et de la protection des frontières à El Centro, en Californie, a déclaré à CNN que les sections qui ont cédé avaient récemment été fixées à une nouvelle fondation en béton à Calexico, en Californie. Selon Pitones, les panneaux sont tombés en raison du béton qui n’avait pas encore durci et ainsi, ils n’étaient pas en mesure de résister aux conditions venteuses.

Selon ce qu’a rapporté le National Weather Service, les vents dans la région soufflaient jusqu’à 60 km/h mercredi.

Pitones n’a pas caché que la situation aurait pu prendre une tournure beaucoup plus grave en déclarant: “Nous sommes reconnaissants qu’il n’y ait pas eu de dommages matériels ou de blessures”.

Les douanes et la protection des frontières ont expliqué que les fonctionnaires locaux de Mexicali ont détourné le trafic de la zone de l’accident, tout en précisant que l’agence travaillait avec le gouvernement mexicain sur les prochaines étapes afin de redresser le mur.

Pitones a déclaré qu’on ignore encore combien de temps les travaux de construction dans la région devront être suspendus afin de permettre le nettoyage.

Trois ans après le début de sa présidence, la promesse de campagne du président Donald Trump a fait face à une foule de défis juridiques et logistiques. Même avec le financement, l’administration devra composer avec des propriétaires fonciers privés dont les biens peuvent être saisis pour construire des barrières le long de la frontière

Trump a cherché à réinvestir des centaines de millions de dollars de plusieurs comptes du gouvernement afin que son administration puisse procéder à la construction d’un mur d’une longueur de 725 km.

Plus tôt ce mois-ci, l’administration a annoncé que le mur avait atteint la barre des 100 milles (160 km), dont la majorité remplaçait les barrières par des conceptions plus nouvelles et améliorées, et environ un demi mille (0,8 km) a été construit dans la vallée du Rio Grande où aucun mur n’existait auparavant.

La Maison-Blanche a fait pression pour que la construction de la frontière américano-mexicaine soit baptisée nouveau mur, selon un ancien fonctionnaire de l’administration.

Enfin, Mark Morgan, le commissaire par intérim aux douanes et à la protection des frontières, a déclaré qu’il ne ressentait “aucune pression de la part de l’administration pour construire plus de kilomètres du mur”.

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