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Interdiction du Zem au Togo : allons-nous vers un phénomène pire que le coronavirus ?



Au Togo, la pandémie à coronavirus oblige les autorités à prendre des décisions qui pourraient coûter très chère pour le pays.

Depuis la détection de la pandémie à coronavirus au Togo, qui a déjà fait trois morts, les autorités ne font que multiplier des mesures dans l’intention d’endiguer le mal. Ces mesures, malgré leurs pertinentes ont un côté qui affole les esprits.

Pour faire face à cela, le gouvernement avait demandé premièrement aux Togolais d’opter pour le confinement. Mais cette décision n’a pas vraiment été respectée, puisque lui-même est conscient de la situation que traverse un togolais lambda, qui ne vit qu’au quotidien.

Lire aussi : Covid-19/ Togo : voici comment seront gérés les 400 milliards de FCFA

Chemin faisant, en observant l’allure que prenne la situation, avec plusieurs cas confirmés, le gouvernement a décrété l’Etat d’urgence sanitaire de trois mois, appuyé par un couvre-feu. Ceci pour permettre à la population de réduire les  risques de contamination afin d’être plus à l’abri de la pandémie.

Débuté ce jeudi 2 avril 2020, le couvre-feu semble être respecté par les citoyens. En dépit des préoccupations qui vont jusqu’à dans la nuit, les gens prennent toutes les dispositions pour rentrer chez eux avant l’heure prévue (20h).

En plus, toujours dans le souci de freiner la propagation le gouvernement a pris une nouvelle mesure très forte. Il s’agit d’interdire aux motocyclistes de remorquer des personnes une décision qui interdit à même temps  aux conducteurs de taxi-moto de cesser les activités jusqu’au nouvel ordre. Quant aux conducteurs de taxi, il formellement interdit des surcharges. Même la décision va jusqu’à limiter le nombre normal que doit prendre un taxi man à bord de son véhicule.

Lire aussi : Couvre-feu à Lomé : voici les photos de la ville avant 20h

Va-t-on vers le pire ? La question reste posée, même s’il le gouvernement est dans la logique sauver les citoyens. Le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions, dit-on. Allant dans le même sens, on peut affirmer que les conséquences de cette mesure seront graves pendant et après la crise.

En analysant les circonstances, on note évidemment une famine qui est en gestation et qui va occasionner des faits horribles dans notre société. On peut citer entre autres, les divorces, le vol à main armée, la délinquance juvénile due à la famine et le manque des moyens, la prostitution sans limite.

Il revient au gouvernement d’évaluer des mesures pour ne plonger le pays dans une crise pire que celle de coronavirus. Comme le Bénin de

Au Togo, la pandémie à coronavirus oblige les autorités à prendre des décisions qui pourraient coûter très chère pour le pays.

Depuis la détection de la pandémie à coronavirus au Togo, qui a déjà fait trois morts, les autorités ne font que multiplier des mesures dans l’intention d’endiguer le mal. Ces mesures, malgré leurs pertinentes ont un côté qui affole les esprits.

Pour faire face à cela, le gouvernement avait demandé premièrement aux Togolais d’opter pour le confinement. Mais cette décision n’a pas vraiment été respectée, puisque lui-même est conscient de la situation que traverse un togolais lambda, qui ne vit qu’au quotidien.

Chemin faisant, en observant l’allure que prenne la situation, avec plusieurs cas confirmés, le gouvernement a décrété l’Etat d’urgence sanitaire de trois mois, appuyé par un couvre-feu. Ceci pour permettre à la population de réduire les  risques de contamination afin d’être plus à l’abri de la pandémie.

Débuté ce jeudi 2 avril 2020, le couvre-feu semble être respecté par les citoyens. En dépit des préoccupations qui vont jusqu’à dans la nuit, les gens prennent toutes les dispositions pour rentrer chez eux avant l’heure prévue (20h).

En plus, toujours dans le souci de freiner la propagation le gouvernement a pris une nouvelle mesure très forte. Il s’agit d’interdire aux motocyclistes de remorquer des personnes une décision qui interdit à même temps  aux conducteurs de taxi-moto de cesser les activités jusqu’au nouvel ordre. Quant aux conducteurs de taxi, il formellement interdit des surcharges. Même la décision va jusqu’à limiter le nombre normal que doit prendre un taxi man à bord de son véhicule.

Va-t-on vers le pire ? La question reste posée, même s’il le gouvernement est dans la logique sauver les citoyens. Le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions, dit-on. Allant dans le même sens, on peut affirmer que les conséquences de cette mesure seront graves pendant et après la crise.

En analysant les circonstances, on note évidemment une famine qui est en gestation et qui va occasionner des faits horribles dans notre société. On peut citer entre autres, les divorces, le vol à main armée, la délinquance juvénile due à la famine et le manque des moyens, la prostitution sans limite.

Il revient au gouvernement d’évaluer des mesures pour ne plonger le pays dans une crise pire que celle de coronavirus.

Lire aussi : Coronavirus en Afrique : une carte pour suivre au jour le jour l’avancée de l’épidémie

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