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 » Ils perdent leur temps  » : Yoweri Museveni cash aux USA



Le 1er janvier, les États-Unis ont suspendu l’Ouganda du programme commercial préférentiel de l’African Growth and Opportunity Act (AGOA), citant des « violations flagrantes des droits de l’homme internationalement reconnus » liées à la loi ougandaise anti-homosexualité. En réponse, le président ougandais Yoweri Museveni a rejeté les pressions, affirmant que les critiques étrangères n’ont aucun sens pour un pays « créateur de richesse ».

Dans un discours télévisé, Museveni a déclaré que l’Ouganda, en tant que nation prospère, ne devrait pas être préoccupé par les sanctions et a appelé à l’unité du peuple pour relever les défis économiques. Il a souligné que les pressions extérieures ne devraient pas diviser le pays, insistant sur la nécessité de lutter contre la corruption et de se concentrer sur l’intégration régionale.

« Nous sommes une société de créateurs de richesse, mais certains de ceux qui se laissent emporter par les liens avec des intérêts étrangers oublient nos atouts. Que quelqu’un vienne et dise ‘si vous ne suivez pas ce que je vous dis, je ne le ferai pas’ [. ..] ils ne sont vraiment pas sérieux », a-t-il déclaré. « Ceux qui nous mettent la pression perdent leur temps. »

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La suspension de l’Ouganda du programme AGOA, à partir de 2024, a été annoncée par Washington en octobre 2023. Cette décision a été précédée par des menaces de suspension de l’aide américaine en réponse à la loi anti-homosexualité adoptée en mai 2023. La loi criminalise les relations homosexuelles et prévoit des peines sévères, y compris la peine de mort pour certains délits.

Malgré la pression internationale, Museveni a maintenu une position ferme, affirmant que son pays pouvait commercer avec ceux qui le respectent. Les critiques des autorités américaines ont été rejetées, et Museveni a exhorté ses concitoyens à ne pas se laisser trop préoccuper par les actions de Washington, soulignant que l’Ouganda peut continuer à se développer indépendamment de l’aide occidentale.

Cette situation souligne les tensions entre les considérations de droits de l’homme et les réalités économiques, mettant en évidence les défis auxquels les dirigeants africains sont confrontés dans un contexte de relations internationales complexes.

 

 

 

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