Claude Guéant a été condamné, lundi 23 janvier, par la cour d’appel de Paris à deux ans de prison dont un ferme dans l’affaire des primes en liquide du ministère de l’intérieur. Une peine d’amende de 75 000 euros, assortie de l’interdiction d’exercer toute fonction publique pendant cinq ans, est confirmée.
Faire appel de sa condamnation n’est pas toujours une idée payante, même pour une éminence sarkozyste. Claude Guéant en a fait l’amère expérience. La cour d’appel de Paris vient de le déclarer coupable, lundi 23 janvier, de « complicité de détournement de fonds publics et recel » et d’alourdir sa peine dans l’affaire des primes en liquide du ministère de l’intérieur.
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