Sean « Diddy » Combs se retrouve une fois de plus dans l’œil du cyclone judiciaire. Le magnat du hip-hop, connu pour son personnage de Bad Boy, fait face à des accusations de viol remontant à 1991.

Cette révélation surprenante fait suite à un récent procès au cours duquel son ex-petite amie Cassie l’a accusé d’agression sexuelle, ce qui a donné lieu à un rapide règlement à l’amiable. Aujourd’hui, un nouveau chapitre s’ouvre alors qu’une femme, dont le nom n’a jamais été révélé, affirme que le rappeur l’a droguée et agressée pendant qu’il était à Syracuse.

Les allégations de 1991 refont surface

Dans un rapport révélé hier soir par la presse américaine, des détails ont été révélés sur une affaire de viol qui aurait impliqué Diddy en 1991. La victime anonyme, étudiante à Syracuse à l’époque, affirme avoir été droguée et agressée sexuellement par le patron de Bad Boy Record. Cette révélation ajoute une nouvelle couche de complexité à la saga judiciaire qui entoure le rappeur.

L’équipe juridique de Diddy nie une nouvelle fois les accusations

L’équipe juridique du rappeur a rapidement réagi aux nouvelles allégations, en se faisant l’écho d’un discours familier de dénégation. Selon les gazettes américaines, une troisième plainte a été déposée, l’accusant et le chanteur Aaron Hall d’avoir agressé sexuellement deux femmes.

La plainte affirme que « pendant que la victime présumée se trouvait dans l’appartement de Hall, on lui a offert des boissons supplémentaires et on l’a forcée à avoir des relations sexuelles avec M. Combs ». Les avocats de Diddy rejettent catégoriquement ces allégations, les attribuant à une prétendue tentative d’extorsion de fonds.

Le passé et le présent de Diddy continuent de s’entremêler dans un réseau d’accusations et de démentis. L’icône du rap, qui a déjà réglé une affaire similaire à l’amiable, doit maintenant faire face à un nouvel examen minutieux, alors qu’un nouveau chapitre de sa saga juridique prend le devant de la scène.