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« Ça suffit »: le Premier ministre australien appelle à une « conclusion » dans l’affaire Assange



Exprimant sa « frustration » face à l’incarcération continue et à la poursuite américaine du lanceur d’alerte Julian Assange, le Premier ministre australien Anthony Albanese a déclaré que l’affaire « doit être menée à son terme ».

« Cela doit être résolu, nous travaillons par les canaux diplomatiques, nous expliquons très clairement quelle est notre position sur le cas de M. Assange », a déclaré Albanese à ABC News jeudi soir dans une interview au Royaume-Uni, où Assange a détenu dans une prison depuis quatre ans.

Préoccupé par la santé d’Assange, Anthony s’est dit frustré parce que son gouvernement n’a pas été en mesure de trouver une solution diplomatique à l’incarcération en cours d’Assange.

« Je continue de dire en privé ce que j’ai dit publiquement en tant que leader travailliste et ce que j’ai dit en tant que Premier ministre, c’est assez », a dit Albanese au radiodiffuseur australien.

Le premier ministre australien est au Royaume-Uni pour assister au couronnement du roi Charles III.

« Cela doit être conclu », a-t-il précisé à propos du cas de l’éditeur de WikiLeaks, dont la garde est recherchée par le gouvernement américain qui a poursuivi l’extradition d’Assange du Royaume-Uni.

Assange, un citoyen australien, est détenu au Royaume-Uni, où les autorités ont approuvé son extradition vers les États-Unis l’année dernière. Il est recherché pour son rôle présumé dans l’espionnage et la diffusion d’informations militaires américaines classifiées.

Il a été traîné hors du bâtiment de l’ambassade de l’Équateur à Londres en 2019, où il s’est réfugié pendant plus de sept ans. S’il est extradé vers les États-Unis, Assange risque une peine de prison pouvant aller jusqu’à 175 ans.

Alors que le Royaume-Uni a accepté la demande de Washington, Assange a cependant fait appel de la décision devant le tribunal.

Le plus haut diplomate australien au Royaume-Uni, Stephen Smith, a rendu visite à Assange le mois dernier à la prison de Belmarsh.

 

Lire aussi : Le gouvernement britannique approuve l’extradition du fondateur de WikiLeaks, Assange, vers les États-Unis

 

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