La STT engage un bras de fer avec la gendarmerie (SCRIC). Au lendemain de l’arrestation de 5 enseignants membres pour raison syndicale, elle observe un sit-in.
Suite à l’interpellation manu militari mercredi 20 janvier 2021 à son siège à Lomé, de 5 membres du Syndicat des enseignants du Togo (SET) en pleine réunion, la Synergie des travailleurs du Togo (STT) veut coûte que coûte œuvrer pour la libération de ses membres.
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Cependant, la centrale syndicale accuse les gendarmes de violences volontaires sur personnes. Elle dénonce une violation de propriété privée et annonce une plainte contre le Service central de recherche et d’investigations criminelles (SCRIC) de la gendarmerie nationale.
Apparemment la STT ne compte pas lâcher l’affaire. Après son sit-in, elle prévoit une grève de trois (3) jours dès lundi 25 janvier 2021 pour exiger la libération de ses membres.
Elle lance par ailleurs, un appel à tous les travailleurs et aux autres organisations syndicales sœurs de se tenir prêts pour défendre « farouchement » les droits et les libertés syndicales.
Elle s’engage résolument à assurer la promotion et la protection des droits et libertés de ses membres.
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