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États-Unis : Donald Trump félicite le président al-Sissi pour son « travail fantastique »



Le président américain a rencontré lundi son homologue égyptien à la Maison Blanche. Celui-ci est le tout premier dirigeant arabe à lui adresser ses félicitations après sa victoire aux élections.

Donald Trump a reçu, lundi 27 mars, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avec pour volonté commune de tourner la page de l’administration Obama, qui avait critiqué à plusieurs reprises le non-respect des droits de l’homme en Égypte. Le président américain, qui entend créer de nouveaux liens avec le pays d’Afrique du Nord, a félicité son homologue pour son « travail fantastique » exercé dans des conditions « difficiles ».

Peu avant la rencontre officielle, Donald Trump avait annoncé dans un tweet « attendre avec impatience une longue est merveilleuse relation » entre l’Égypte et les États-Unis.

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Exit les questions qui fâchent

« Nous sommes clairement derrière le président al-Sissi […] Nous sommes clairement derrière l’Égypte et le peuple égyptien », a déclaré Donald Trump depuis le Bureau ovale en recevant son homologue égyptien qui effectue sa première visite à la Maison Blanche depuis son arrivée au pouvoir.

« Nous avons beaucoup de choses en commun », a-t-il poursuivi, sans évoquer la question des violations des droits de l’homme et de la liberté de la presse qui était régulièrement soulevée par son prédécesseur démocrate, Barack Obama.

Changement de position

« Nous sommes proches depuis la première fois que nous nous sommes rencontrés », a ajouté le président américain. Alors que la campagne électorale américaine battait son plein, les deux hommes s’étaient déjà vus à New York, en septembre. Le magnat de l’immobilier n’avait alors pas hésité, dans une interview à la chaîne de télévision américaine Fox Business, à qualifier son interlocuteur de « type fantastique », assurant que celui-ci avait « pris le contrôle de l’Égypte ».

Le président égyptien a, quant à lui, exprimé son « admiration » pour « la personnalité » du nouveau locataire de la Maison Blanche et affiché sa volonté de travailler avec le président américain pour « une stratégie efficace de lutte contre le terrorisme ».

L’administration Obama avait gelé son aide militaire à l’Égypte en 2013 après la destitution du président islamiste, Mohamed Morsi, et la répression sanglante de ses partisans. Mais le rôle incontournable de l’Égypte, le plus peuplé et le mieux armé des pays arabes, avait poussé la Maison Blanche à infléchir sa position en 2015.

Avec Jeune Afrique

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