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Procès à Paris : 17 hommes soupçonnés de violences sexuelles dans l’industrie pornographique française



Le parquet de Paris a requis un procès pour 17 hommes impliqués dans une affaire de violences sexuelles présumées liées à la réalisation de vidéos pornographiques pour la plateforme française « French Bukkake ». Cette affaire, ouverte en octobre 2020, a mis en lumière les tensions et la concurrence féroce au sein de l’industrie pornographique, mettant en danger de jeunes femmes précaires.

Découvrons les détails troublants de cette affaire qui secoue le monde du porno en France.

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Accusations graves

Parmi les 17 hommes visés par le procès, on compte le dirigeant de la plateforme, son associé, un recruteur d’actrices et dix acteurs. Les chefs d’accusation sont lourds et incluent notamment les viols, les viols en réunion, la traite d’êtres humains en bande organisée et le proxénétisme aggravé. Le parquet souligne le cynisme violent de l’industrie pornographique, où la concurrence pour attirer de nouvelles actrices et gagner des spectateurs en ligne est féroce.

Le recrutement pour « French Bukkake » reposait sur un stratagème sournois visant à amadouer de jeunes femmes précaires et à les orienter vers des tournages où elles auraient subi de nouveaux faits de viols aggravés après ceux présumés commis par le recruteur. Les plaignantes ont décrit un état de sidération lors des tournages, où la présence d’alcool et de stupéfiants était fréquente, et où elles n’étaient pas informées des actes sexuels qui seraient réalisés sur leur personne.

Découverte choquante

Les acteurs avaient l’interdiction de discuter avec les actrices pendant les tournages, ce qui a ajouté au sentiment de surprise et d’impuissance ressenti par les victimes. Les deux principaux accusés, le dirigeant du site et le réalisateur Pascal OP, ainsi que son associé Mathieu L., sont soupçonnés de complicité, car ils savaient que les plaignantes étaient victimes d’une machination lors de leur recrutement.

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