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Les cyberharceleurs de Magali Berdah condamnés : Des peines de prison prononcées



La saga judiciaire autour de l’affaire de cyberharcèlement de Magali Berdah a atteint un point décisif, avec treize personnes condamnées à des peines de prison pour leur implication dans le harcèlement en ligne de la femme d’affaires.

La croisade de Booba contre les influenceurs en 2022 avait déclenché une vague de menaces et d’insultes à l’encontre de Berdah, l’amenant à porter plainte contre le rappeur et de nombreux agresseurs en ligne. Le procès, qui s’est ouvert le 27 novembre, s’est achevé le mardi 5 décembre, et tous les accusés ont été condamnés.

L’étendue de la cyberintimidation dévoilée au tribunal

Tout au long du procès, des détails ont été révélés sur la vaste campagne de cyberintimidation menée contre Berdah : insultes, menaces, propagation de rumeurs et même incitation au suicide. La vice-procureure, Sophie Touchais, a souligné la nature envahissante de la cyberintimidation, en insistant sur le fait que son impact s’étend au-delà de la sphère numérique, infiltrant la vie personnelle de la victime et de ses proches.

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Le tribunal a imposé un éventail de peines, y compris des peines d’emprisonnement avec ou sans sursis, reflétant la gravité des actes des cyberharceleurs. En particulier, un individu de 32 ans a été condamné à une peine d’un an, dont dix mois avec sursis, pour des messages antisémites visant les grands-parents de Magali Berdah. L’accusation a fait valoir que l’antisémitisme et le sexisme avaient servi de catalyseurs à l’ensemble du cyberharcèlement.

La cyberintimidation ne s’arrête pas avec le temps, selon Magali Berdah

« La cyberintimidation ne s’arrête pas à Internet ; elle s’infiltre dans votre vie et dans celle de vos proches », a fait remarquer la vice-procureure Sophie Touchais, soulignant l’impact omniprésent du harcèlement en ligne.

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Alors que treize personnes ont été jugées lors de ce procès, quinze autres doivent être jugées dans le cadre de deux procédures ultérieures, prévues dans les prochains jours et à la fin du mois de janvier 2024. Ces affaires devraient porter sur des infractions similaires liées à la campagne de cyberintimidation menée contre la papesse des influenceurs.

Alors que Magali Berdah poursuit sa quête de justice, le système juridique est aux prises avec la complexité de la lutte contre la cyberintimidation et ses conséquences dans le monde réel.

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